* Films vu ce jour 30ème Festival Cinéma Italien Bastia 2018 (en compétition)

IL  PADRE  D'ITALIA

 réalisé  par  Fabio  Mollo

2017  -  1h33

Paolo (Luca Marinelli) est un trentenaire homosexuel introverti et solitaire qui se remet péniblement de sa rupture avec son ex, Mario (Mario Sgueglia), qui désirait se marier et fonder une famille avec lui. 

Il voulait devenir charpentier ou architecte et, à la place, il était vendeur dans un mégastore de meubles préemballés.

Un soir, alors que Paolo part à la recherche de Mario dans un club gay,
il rencontre dans une boîte de nuit Mia (Isabella Ragonese), une jeune femme enceinte de six mois qui ne semble pas savoir quoi faire d'elle-même, beaucoup moins que l'enfant qui attend.
Malgré lui, Paolo prendra soin de Mia et essaiera de la ramener à la maison, entreprenant un voyage qui les mènera à travers l'Italie à travers le présent.

Ma note :

vu au cinéma 7ème Art à Furiani séance de 16h45

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L'ORA  LEGALE

( l'heure  d'été )

comédie  réalisée  par

Salvatore  Ficarra  et  Valentino  Picone 

2017 - 1h35

À Pietrammare, village sicilien imaginaire, tous les habitants s'enthousiasment pour l'élection d'un nouveau maire et du nouveau conseil municipal.

Depuis des années, le village vit sous la direction du maire corrompu Gaetano Patanè (Tony Sperandeo), adepte du clientélisme et de toutes sortes de magouilles le favori des sondages.

Face à lui se présente Pierpaolo Natoli (Vincenzo Amato), un professeur de 50 ans, nouveau venu dans la politique plein de bonnes intentions, prêt à en finir avec la corruption et le mauvais état de la ville. 
Salvatore (Salvatore Ficarra) et Valentino (Valentino Picone), les deux beaux-frères de Natoli, propriétaires d'un café prospère sur la place de la ville, soutiennent chacun un des deux candidats en espérant obtenir d'eux des faveurs qui leur permettraient d'agrandir leur commerce.
Les habitants du village, quant à eux, vivent dans les ornières, les crottes de chiens, les amoncellements de poubelles et dans un état de désordre et d'illégalité permanent dû au laxisme et à l'inaction du maire en place depuis des années, sous la bénédiction de Don Rafaelle (Leo Gullotta), prêtre aussi corrompu que le maire.
Exaspérés par la situation et souhaitant le changement, ils élisent avec enthousiasme Pierpaolo Natoli.
Celui-ci met alors en place des politiques radicales contre les mauvaises habitudes, refuse brutalement tout favoritisme, impose le tri des déchets, construit une piste cyclable, remet au travail les fonctionnaires, met des amendes à tous les contrevenants et ordonne la destruction des maisons construites sans permis.
Mais les habitants, longtemps habitués au désordre, commencent à s'exaspérer de ces nouvelles lois.

Ma note :

vu au cinéma 7ème Art à Furiani séance de 14h30