jeudi 31 août 2017
* Aperçus en drone août 2017
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Libellés :
DOCUMENTAIRES
mercredi 30 août 2017
vendredi 25 août 2017
jeudi 24 août 2017
mercredi 23 août 2017
* Extraits Corse-matin de ce jour
Les débits des rivières de l'intérieur sont fortement en baisse tandis que la température de l'eau a augmenté.
On a relevé 27ºC dans le Tavignani.
Une situation qui pourrait permettre l'apparition de maladies tropicales à terme.
Libellés :
DOCUMENTAIRES,
INTEMPÉRIES EN CORSE
mardi 22 août 2017
lundi 21 août 2017
* "Nous avons une nouvelle histoire à écrire" Stéphane Rossi (SC Bastia)
Après le départ raté en juin, les aléas de la rétrogradation administrative en National 1 puis en National 3, le dépôt de bilan de la SASP, le départ des dirigeants et l’arrivée de nouveaux, c’était ce lundi, on l’espère, le nouveau départ pour le SCB.
Le groupe d’une vingtaine de joueurs (voir liste ci-dessous), dont 4 professionnels (Cioni, Thebaux, Diallo et Benhaïm), a fait connaissance avec le nouveau staff : Stéphane Rossi entraîneur, Nicolas Gennarielli, adjoint, Hervé Sekli, entraîneur des gardiens et Romain Vialle, préparateur physique.
LIRE SUITE ARTICLE SUR :
Le groupe d’une vingtaine de joueurs (voir liste ci-dessous), dont 4 professionnels (Cioni, Thebaux, Diallo et Benhaïm), a fait connaissance avec le nouveau staff : Stéphane Rossi entraîneur, Nicolas Gennarielli, adjoint, Hervé Sekli, entraîneur des gardiens et Romain Vialle, préparateur physique.
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Sporting Club Bastia
* Sécheresse : l'état d'urgence en Corse ! (France Bleu RCFM)
La situation est alarmante : en Corse, la quasi-absence de précipitations depuis plusieurs mois, combinée à des températures élevées, provoque un assèchement des sols exceptionnel.
Un niveau de sécheresse, de déficit hydrique, supérieur à celui de 2003, une année pourtant record.
"Depuis mars, les températures sont en moyenne supérieures de 2 degrés à celles de 2003", Patrick Rebillout
"L'année n'est pas exceptionnelle, elle est catastrophique", Antoine Orsini
LIRE ARTICLE :
https://www.francebleu.fr/infos/climat-environnement/secheresse-l-etat-d-urgence-1503306266
Un niveau de sécheresse, de déficit hydrique, supérieur à celui de 2003, une année pourtant record.
"Depuis mars, les températures sont en moyenne supérieures de 2 degrés à celles de 2003", Patrick Rebillout
"L'année n'est pas exceptionnelle, elle est catastrophique", Antoine Orsini
LIRE ARTICLE :
https://www.francebleu.fr/infos/climat-environnement/secheresse-l-etat-d-urgence-1503306266
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INTEMPÉRIES EN CORSE
dimanche 20 août 2017
samedi 19 août 2017
vendredi 18 août 2017
jeudi 17 août 2017
mercredi 16 août 2017
* SC Bastia : le plan B de Luiggi pour ressusciter le club (Corse-matin ce jour))
Avec Claude Ferrandi, le patron d'Oscaro a décidé d'éponger les dettes de l'association SCB et de mettre sur les rails un projet de reconquête sociale, économique et sportive.
Passage de témoin demain à Furiani
Le Sporting-club de Bastia est à l'agonie mais il ne va pas mourir. Sa vie n'a tenu qu'à un fil. On le pensait définitivement rompu lorsque le pool des repreneurs a jeté l'éponge mais deux hommes ont tenu le choc : Pierre-Noël Luiggi, le patron d'Oscaro, et Claude Ferrandi qui dirige le groupe Ferrandi. Ils ont entrepris de sauver l'association criblée de dettes et d'initier un projet de refondation à partir de la National 3 avec pour ambition de retrouver l'élite mais, surtout, de changer fondamentalement le modèle de fonctionnement.
Demain à Furiani, l'association SCB tiendra une assemblée générale extraordinaire pour la passation de témoin. Le départ des dirigeants actuels sera définitivement acté au grand soulagement des supporters. Pour retrouver la compétition, un certain nombre d'obstacles restent à franchir. Nous en sommes à l'an I du renouveau. L'un de ses principaux instigateurs, Pierre-Noël Luiggi, trace pour nous la feuille de route.
L'expert en pièces détachées s'est donné cette fois pour mission de recoller les morceaux.
Vous étiez dix, vous n'êtes plus que deux.
Le plan de reprise a changé ?
Une première étape précède le plan, celle de sauver l'association SCB et de la remettre, en quelque sorte, en état de marche, pour reprendre une expression qui m'est très familière dans mon métier.
Aujourd'hui, l'association a des dettes, ce n'est un secret pour personne. Elles s'élèvent au maximum à un million, peut-être un peu moins car nous disposons d'une petite marge de manoeuvre pour négocier avec certains créanciers, mais je ne vais pas rentrer ici dans les détails. En même temps, il s'agit de donner de la vision, la plus claire et la plus belle possible, de manière à ce que le sportif nous rejoigne. Nous sommes comme un cycliste : pour être stable, il doit avancer et pour avancer, il lui faut deux pédales, en l'occurrence une association saine financièrement, ce à quoi nous nous sommes attelés, le groupe Ferrandi et nous-mêmes, et un nouvel enthousiasme suscité au niveau sportif.
À deux, avec Claude Ferrandi, vous avez les épaules
assez larges ?
Dans un premier temps, l'argent ne vient pas du pouvoir sportif mais des entreprises. Lorsqu'on atteint le stade professionnel, c'est-à-dire la Ligue 2, l'argent vient essentiellement du sport.
Notre rôle, et j'insiste sur ce point, c'est celui de bonnes fées qui se penchent sur le nouveau berceau du club pour mettre en place les bonnes pratiques. Les dirigeants qui, peut-être un jour, nous succéderont, devront se contraindre à une gouvernance radicalement différente de ce qui a pu exister par le passé. Notre vrai apport, ce n'est pas l'argent, ce sont les méthodes, c'est plus important que tout. Il n'y a pas d'hommes providentiels, il n'y a que des bonnes volontés soucieuses de construire sur le long terme quelque chose que les gens n'ont jamais connu.
Les repreneurs qui se sont manifestés avant de jeter l'éponge
vont revenir ?
La porte est ouverte à tout le monde. Certains des candidats à la refondation nous rejoindront, j'en suis sûr. Mais il y en aura d'autres, je ne me fais non plus pas trop de soucis à ce sujet.
L'objectif, c'est toujours l'accession en Ligue 2 dans un
délai de cinq ans ?
Le véritable objectif, au-delà de la reconquête sportive, c'est de construire un club tel qu'il n'a jamais existé, un club avec un mode de gouvernance qui soit transparent, collaboratif et durable.
La structure juridique est en cours de montage mais le principe est d'ores et déjà posé. En quarante ans, le club a fait plusieurs fois faillite et ce n'est pas exclusivement imputable aux dirigeants sortants qui ont fait ce qu'ils ont fait.
La faute tient aussi à une mentalité de direction non collégiale issue de notre histoire et de notre tissu économique constitué de petites PME. Le groupe Ferrandi et le groupe Oscaro ne sont pas de petites PME, ils sont habitués à rendre des comptes à leurs banquiers et à leurs clients, ils sont habitués à une direction beaucoup plus ample, plus développée, plus mûre.
Quelle sera la place des Socios ?
Dans le modèle collaboratif auquel je fais référence, les Socios auront tous leurs droits. Ils seront associés financièrement et sur le plan de la gouvernance dès le départ. Cela peut être dans l'association dès qu'elle sera assainie, puis dans la nouvelle société dès sa création. Mais de tout ça, nous en discuterons ensemble. D'ailleurs, nous sommes en contact permanent avec les Socios.
La collectivité territoriale de Corse aura un rôle particulier
à jouer ?
Avant même que je ne devienne un partenaire du club, j'avais conseillé aux dirigeants de faire réaliser une étude économométrique pour évaluer précisément les retombées positives du SCB sur l'économie de la Corse dans son ensemble. Un cabinet avait été sollicité mais le devis n'a jamais été validé. Ce que je peux vous dire, c'est que le projet n'est pas abandonné, cette étude va être menée et, sans préjuger du résultat, je suis convaincu qu'elle va chiffrer les retombées, économiques et en termes d'image, à plusieurs millions d'euros.
Il est donc légitime que la CTC, même de manière extrêmement limitée, nous aide à faire ce premier effort. Comme il est légitime qu'elle ait un droit de regard sur l'association.
"Tout est fait pour ne pas déclarer forfait la première journée"
Sur le plan sportif, on n'est plus dans une course contre la montre mais dans l'extrême urgence, pour ne pas dire
le retard...
Nous avons parfaitement conscience de la situation. Nous avons adressé deux courriers officiels à la fédération pour demander le report des quatre premières journées de championnat. Nous avons bon espoir d'être entendus.
Mais il faut un entraîneur et des joueurs très rapidement
sous la main...
L'entraîneur peut arriver un tout petit peu plus tard. Le plus important, c'est de récupérer le plus vite possible les quelques joueurs qui nous manquent pour pouvoir s'inscrire à la première journée et ne pas avoir à déclarer forfait le jour de départ de la compétition, fut-il décalé. Il faut y parvenir d'ici la fin de cette semaine.
L'équipe sera améliorée au fur et à mesure ?
Je le répète, il faut tout faire pour jouer la première journée sans avoir à déclarer forfait. Ensuite, l'effectif gagnera en niveau de compétitivité.
En National 3, on a la possibilité d'établir des contrats fédéraux. Ça coûte de l'argent mais c'est normal pour un projet ambitieux.
Frédéric Antonetti est toujours dans le coup ?
J'ai rencontré Frédéric Antonetti avec plusieurs autres personnes pas plus tard que jeudi dernier. Sa position est très claire : il est là pour aider.
En Ligue 2, il aurait été ravi d'être le professionnel qui s'occupe du sportif. Le National, ce n'est pas son coeur de métier, il le dit lui-même. Je pense qu'il sera à nos côtés comme partenaire financier.
Au niveau sportif, s'il est disponible, sa notoriété, ses compétences unanimement reconnues et son attachement au club font qu'il aura sa place et toute sa place le moment venu au Sporting.
Le centre de formation a fermé ses portes, une séquence vécue par tout le monde avec énormément de tristesse pour les éducateurs et, plus encore, pour les jeunes dont certains étaient promis à une belle carrière.
Comment réagir à ça ?
La réouverture du centre de formation est une de nos priorités absolues. Dans notre esprit, c'est fondamental. Une fois l'association sauvée et le budget structuré, notre objectif sera de doter la Corse d'un centre de formation unique, peut-être pluridisciplinaire, et extrêmement ambitieux. C'est un projet en soi, un grand projet sociétal, et c'est la raison pour laquelle la CTC, la ville de Bastia et d'autres collectivités viendront en discuter avec nous.
Certaines installations seraient, paraît-il, sous hypothèques...
Avec le temps, nous pourrons récupérer l'essentiel des infrastructures.
Passage de témoin demain à Furiani
Le Sporting-club de Bastia est à l'agonie mais il ne va pas mourir. Sa vie n'a tenu qu'à un fil. On le pensait définitivement rompu lorsque le pool des repreneurs a jeté l'éponge mais deux hommes ont tenu le choc : Pierre-Noël Luiggi, le patron d'Oscaro, et Claude Ferrandi qui dirige le groupe Ferrandi. Ils ont entrepris de sauver l'association criblée de dettes et d'initier un projet de refondation à partir de la National 3 avec pour ambition de retrouver l'élite mais, surtout, de changer fondamentalement le modèle de fonctionnement.
Demain à Furiani, l'association SCB tiendra une assemblée générale extraordinaire pour la passation de témoin. Le départ des dirigeants actuels sera définitivement acté au grand soulagement des supporters. Pour retrouver la compétition, un certain nombre d'obstacles restent à franchir. Nous en sommes à l'an I du renouveau. L'un de ses principaux instigateurs, Pierre-Noël Luiggi, trace pour nous la feuille de route.
L'expert en pièces détachées s'est donné cette fois pour mission de recoller les morceaux.
Vous étiez dix, vous n'êtes plus que deux.
Le plan de reprise a changé ?
Une première étape précède le plan, celle de sauver l'association SCB et de la remettre, en quelque sorte, en état de marche, pour reprendre une expression qui m'est très familière dans mon métier.
Aujourd'hui, l'association a des dettes, ce n'est un secret pour personne. Elles s'élèvent au maximum à un million, peut-être un peu moins car nous disposons d'une petite marge de manoeuvre pour négocier avec certains créanciers, mais je ne vais pas rentrer ici dans les détails. En même temps, il s'agit de donner de la vision, la plus claire et la plus belle possible, de manière à ce que le sportif nous rejoigne. Nous sommes comme un cycliste : pour être stable, il doit avancer et pour avancer, il lui faut deux pédales, en l'occurrence une association saine financièrement, ce à quoi nous nous sommes attelés, le groupe Ferrandi et nous-mêmes, et un nouvel enthousiasme suscité au niveau sportif.
À deux, avec Claude Ferrandi, vous avez les épaules
assez larges ?
Dans un premier temps, l'argent ne vient pas du pouvoir sportif mais des entreprises. Lorsqu'on atteint le stade professionnel, c'est-à-dire la Ligue 2, l'argent vient essentiellement du sport.
Notre rôle, et j'insiste sur ce point, c'est celui de bonnes fées qui se penchent sur le nouveau berceau du club pour mettre en place les bonnes pratiques. Les dirigeants qui, peut-être un jour, nous succéderont, devront se contraindre à une gouvernance radicalement différente de ce qui a pu exister par le passé. Notre vrai apport, ce n'est pas l'argent, ce sont les méthodes, c'est plus important que tout. Il n'y a pas d'hommes providentiels, il n'y a que des bonnes volontés soucieuses de construire sur le long terme quelque chose que les gens n'ont jamais connu.
Les repreneurs qui se sont manifestés avant de jeter l'éponge
vont revenir ?
La porte est ouverte à tout le monde. Certains des candidats à la refondation nous rejoindront, j'en suis sûr. Mais il y en aura d'autres, je ne me fais non plus pas trop de soucis à ce sujet.
L'objectif, c'est toujours l'accession en Ligue 2 dans un
délai de cinq ans ?
Le véritable objectif, au-delà de la reconquête sportive, c'est de construire un club tel qu'il n'a jamais existé, un club avec un mode de gouvernance qui soit transparent, collaboratif et durable.
La structure juridique est en cours de montage mais le principe est d'ores et déjà posé. En quarante ans, le club a fait plusieurs fois faillite et ce n'est pas exclusivement imputable aux dirigeants sortants qui ont fait ce qu'ils ont fait.
La faute tient aussi à une mentalité de direction non collégiale issue de notre histoire et de notre tissu économique constitué de petites PME. Le groupe Ferrandi et le groupe Oscaro ne sont pas de petites PME, ils sont habitués à rendre des comptes à leurs banquiers et à leurs clients, ils sont habitués à une direction beaucoup plus ample, plus développée, plus mûre.
Quelle sera la place des Socios ?
Dans le modèle collaboratif auquel je fais référence, les Socios auront tous leurs droits. Ils seront associés financièrement et sur le plan de la gouvernance dès le départ. Cela peut être dans l'association dès qu'elle sera assainie, puis dans la nouvelle société dès sa création. Mais de tout ça, nous en discuterons ensemble. D'ailleurs, nous sommes en contact permanent avec les Socios.
La collectivité territoriale de Corse aura un rôle particulier
à jouer ?
Avant même que je ne devienne un partenaire du club, j'avais conseillé aux dirigeants de faire réaliser une étude économométrique pour évaluer précisément les retombées positives du SCB sur l'économie de la Corse dans son ensemble. Un cabinet avait été sollicité mais le devis n'a jamais été validé. Ce que je peux vous dire, c'est que le projet n'est pas abandonné, cette étude va être menée et, sans préjuger du résultat, je suis convaincu qu'elle va chiffrer les retombées, économiques et en termes d'image, à plusieurs millions d'euros.
Il est donc légitime que la CTC, même de manière extrêmement limitée, nous aide à faire ce premier effort. Comme il est légitime qu'elle ait un droit de regard sur l'association.
"Tout est fait pour ne pas déclarer forfait la première journée"
Sur le plan sportif, on n'est plus dans une course contre la montre mais dans l'extrême urgence, pour ne pas dire
le retard...
Nous avons parfaitement conscience de la situation. Nous avons adressé deux courriers officiels à la fédération pour demander le report des quatre premières journées de championnat. Nous avons bon espoir d'être entendus.
Mais il faut un entraîneur et des joueurs très rapidement
sous la main...
L'entraîneur peut arriver un tout petit peu plus tard. Le plus important, c'est de récupérer le plus vite possible les quelques joueurs qui nous manquent pour pouvoir s'inscrire à la première journée et ne pas avoir à déclarer forfait le jour de départ de la compétition, fut-il décalé. Il faut y parvenir d'ici la fin de cette semaine.
L'équipe sera améliorée au fur et à mesure ?
Je le répète, il faut tout faire pour jouer la première journée sans avoir à déclarer forfait. Ensuite, l'effectif gagnera en niveau de compétitivité.
En National 3, on a la possibilité d'établir des contrats fédéraux. Ça coûte de l'argent mais c'est normal pour un projet ambitieux.
Frédéric Antonetti est toujours dans le coup ?
J'ai rencontré Frédéric Antonetti avec plusieurs autres personnes pas plus tard que jeudi dernier. Sa position est très claire : il est là pour aider.
En Ligue 2, il aurait été ravi d'être le professionnel qui s'occupe du sportif. Le National, ce n'est pas son coeur de métier, il le dit lui-même. Je pense qu'il sera à nos côtés comme partenaire financier.
Au niveau sportif, s'il est disponible, sa notoriété, ses compétences unanimement reconnues et son attachement au club font qu'il aura sa place et toute sa place le moment venu au Sporting.
Le centre de formation a fermé ses portes, une séquence vécue par tout le monde avec énormément de tristesse pour les éducateurs et, plus encore, pour les jeunes dont certains étaient promis à une belle carrière.
Comment réagir à ça ?
La réouverture du centre de formation est une de nos priorités absolues. Dans notre esprit, c'est fondamental. Une fois l'association sauvée et le budget structuré, notre objectif sera de doter la Corse d'un centre de formation unique, peut-être pluridisciplinaire, et extrêmement ambitieux. C'est un projet en soi, un grand projet sociétal, et c'est la raison pour laquelle la CTC, la ville de Bastia et d'autres collectivités viendront en discuter avec nous.
Certaines installations seraient, paraît-il, sous hypothèques...
Avec le temps, nous pourrons récupérer l'essentiel des infrastructures.
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Sporting Club Bastia
mardi 15 août 2017
* SCBastia : le centre ferme, Ferrandi et Luiggi arrivent (Corse-matin ce jour)
La chute du Sporting emporte tout sur son passage.
Après la disparition de la section professionnelle, c'est le centre de formation qui a fermé ses portes, samedi soir.
Une nouvelle catastrophe sportive et sociale.
L'assemblée générale extraordinaire de la dernière chance aura lieu jeudi.
En présence des deux ultimes candidats à la reprise.
Quatre semaines de lutte, de combat, d'attente. Depuis l'annonce de la rétrogradation de l'équipe première, le staff du centre de formation du Sporting et tous ses pensionnaires ont voulu se raccrocher à l'espoir. En priant chaque soir. "Mais le retrait des repreneurs jeudi dernier a eu l'effet d'un coup de massue", avoue Manu Giudicelli, le directeur.
La perte du statut professionnel a entraîné le retrait de l'agrément pour le centre de formation. Même si le projet de créer une « académie » était envisagé, la situation financière du club a tout plombé. "On a fermé officiellement le centre samedi soir. Il n'y avait pas d'autres alternatives. Les garçons ont eu un mérite énorme de s'entraîner dans ce contexte. Mais au bout d'un moment, on ne pouvait plus fonctionner. Cela faisait quatre semaines que je dormais au centre pour effectuer la surveillance de nuit. Il restait 7 ou 8 gamins. Mais aujourd'hui, il n'y a plus personne."
Exténué, dépité, Manu Giudicelli a tout tenté pour sauver ce qui était encore sauvable. "Personne ne se rend compte de l'ampleur du désastre. Chaque jour qui passe, c'est une génération qu'on condamne."
Les jeunes sont partis les uns après les autres. Avec eux, leurs rêves de gosses de porter un jour le maillot du Sporting se sont envolés. "On ne pouvait rien leur dire pour les retenir car il n'y a tout simplement aucun projet à leur présenter. Ce ne sont plus des joueurs que l'on perd, ce sont des années..."
" Même plus de quoi faire une équipe "
Tout le travail effectué pendant des saisons au centre de formation réduit à néant en quelques semaines.
En plus d'avoir souillé le passé du club, en plus d'avoir bousillé son présent, les dirigeants viennent de dilapider son avenir. Laisser partir des joueurs professionnels relève de la faute de gestion mais éradiquer les générations futures, c'est un "génocide sportif".
La reconstruction du Sporting aurait dû se faire grâce à son centre de formation, le vivier de l'espérance. Le futur c'était eux. Aujourd'hui, ils appartiennent officiellement au passé.
"On est censé reprendre la compétition ce week-end. Pour la N3, j'ai seulement cinq joueurs qualifiés dont un qui est en instance de départ, reprend Manu Giudicelli. En U19 nationaux, on doit recevoir Montferrand. Mais on n'a même plus de gardien et de quoi faire une équipe. Il reste huit joueurs pour les catégories U17-U19... Je ne vois pas comment le club peut repartir. Soit des gens se manifestent avec un projet à mettre à place immédiatement, soit on disparaît."
En plus du désastre sportif, tout le monde se prépare à une catastrophe sociale car les dirigeants pourraient également déposer le bilan de l'association. Avec cette fois une procédure de redressement judiciaire et un plan social au bout.
L'hypothèse d'une reprise pourrait atténuer la casse. Mais le temps presse. "Le staff a la volonté de rester pour aider le club mais des éducateurs vont partir parce qu'il y a des offres pour travailler ailleurs. On a lutté mais j'ai l'impression que nous sommes arrivés au bout du bout."
20 CLUBS SUR LENNY PINTOR
Avant de quitter leur poste, les membres du staff ont tenu à accompagner les jeunes. En activant leurs réseaux, en passant des coups de fil, en recommandant des profils, ils ont tout fait pour recaser le maximum de jeunes dans d'autres centres. "Sept joueurs sont partis dans les clubs ajacciens, à l'ACA et au GFCA. Trois ont signé à l'OM. Certains ont été recrutés par Saint-Etienne, Toulouse ou Nîmes. D'autres sont à l'essai à Sochaux, Angers, Strasbourg, au Cercle Bruges ou encore à Vitesse Arnhem."
Quant à ceux qui étaient prévus pour intégrer le groupe professionnel comme Ben Amar ou Pintor, ils disposent de plusieurs propositions. "Ben Amar s'entraîne actuellement avec le Sporting Lisbonne. Pour Pintor, plus de 20 clubs lui ont fait des propositions. Dont le Milan AC, la Juventus ou Arsenal. Imaginez un peu les valeurs marchandes qu'on avait chez nous..."
Autant d'espoirs qui s'envolent. Des joueurs promis à un grand avenir qui ne porteront jamais le maillot du Sporting. Un gâchis qui a de quoi rendre fou. "Dans notre malheur, la seule satisfaction c'est de voir nos jeunes retrouver un projet ailleurs. On essaye de les accompagner pour les aider à rebondir. Mais il reste encore du boulot. Des U16 à la N3, 35 joueurs sont encore dans l'attente." Parmi eux, certains vont se retrouver sans club. D'autres risquent d'arrêter complètement le football. Par dégoût. Le Sporting, une formidable institution devenue une machine à briser des rêves.
LUIGGI et FERRANDI : le ticket de la dernière chance ?
Dans le feuilleton des repreneurs, la saga a connu de nouvelles péripéties. Après une énième réunion hier, cette fois en présence d'élus, Pierre-Noël Luiggi et Claude Ferrandi auraient décidé de présenter un projet de reprise. Seuls. Sans leurs compères. L'équipe des dix va donc être renommée "l'équipe des deux".
Une assemblée générale extraordinaire est prévue jeudi (voir par ailleurs le communiqué du club). Un nouveau bureau pourrait être composé afin de préserver l'association et de présenter une équipe en National 3. Dans ce nouveau projet, une demande de report des premières journées du championnat a été transmise à la FFF. Une requête indispensable à la reconstitution d'une équipe. Et au-delà, à la reconstruction d'un club.
LE COMMUNIQUÉ DU SCB
Les dirigeants du Sporting Club de Bastia tiendront une assemblée générale extraordinaire ce jeudi 17 août afin de laisser place à une nouvelle équipe de repreneurs constituée dans un premier temps des groupes Ferrandi et Oscaro. Cette démarche de refondation du Sporting Club de Bastia a d'ores et déjà reçu le soutien de la Collectivité territoriale de Corse et a vocation à s'ouvrir à d'autres partenariats.
Par ailleurs, le club a officiellement saisi la Fédération Française de Football afin d'obtenir le report des premières journées du championnat de National 3."
Après la disparition de la section professionnelle, c'est le centre de formation qui a fermé ses portes, samedi soir.
Une nouvelle catastrophe sportive et sociale.
L'assemblée générale extraordinaire de la dernière chance aura lieu jeudi.
En présence des deux ultimes candidats à la reprise.
Quatre semaines de lutte, de combat, d'attente. Depuis l'annonce de la rétrogradation de l'équipe première, le staff du centre de formation du Sporting et tous ses pensionnaires ont voulu se raccrocher à l'espoir. En priant chaque soir. "Mais le retrait des repreneurs jeudi dernier a eu l'effet d'un coup de massue", avoue Manu Giudicelli, le directeur.
La perte du statut professionnel a entraîné le retrait de l'agrément pour le centre de formation. Même si le projet de créer une « académie » était envisagé, la situation financière du club a tout plombé. "On a fermé officiellement le centre samedi soir. Il n'y avait pas d'autres alternatives. Les garçons ont eu un mérite énorme de s'entraîner dans ce contexte. Mais au bout d'un moment, on ne pouvait plus fonctionner. Cela faisait quatre semaines que je dormais au centre pour effectuer la surveillance de nuit. Il restait 7 ou 8 gamins. Mais aujourd'hui, il n'y a plus personne."
Exténué, dépité, Manu Giudicelli a tout tenté pour sauver ce qui était encore sauvable. "Personne ne se rend compte de l'ampleur du désastre. Chaque jour qui passe, c'est une génération qu'on condamne."
Les jeunes sont partis les uns après les autres. Avec eux, leurs rêves de gosses de porter un jour le maillot du Sporting se sont envolés. "On ne pouvait rien leur dire pour les retenir car il n'y a tout simplement aucun projet à leur présenter. Ce ne sont plus des joueurs que l'on perd, ce sont des années..."
" Même plus de quoi faire une équipe "
Tout le travail effectué pendant des saisons au centre de formation réduit à néant en quelques semaines.
En plus d'avoir souillé le passé du club, en plus d'avoir bousillé son présent, les dirigeants viennent de dilapider son avenir. Laisser partir des joueurs professionnels relève de la faute de gestion mais éradiquer les générations futures, c'est un "génocide sportif".
La reconstruction du Sporting aurait dû se faire grâce à son centre de formation, le vivier de l'espérance. Le futur c'était eux. Aujourd'hui, ils appartiennent officiellement au passé.
"On est censé reprendre la compétition ce week-end. Pour la N3, j'ai seulement cinq joueurs qualifiés dont un qui est en instance de départ, reprend Manu Giudicelli. En U19 nationaux, on doit recevoir Montferrand. Mais on n'a même plus de gardien et de quoi faire une équipe. Il reste huit joueurs pour les catégories U17-U19... Je ne vois pas comment le club peut repartir. Soit des gens se manifestent avec un projet à mettre à place immédiatement, soit on disparaît."
En plus du désastre sportif, tout le monde se prépare à une catastrophe sociale car les dirigeants pourraient également déposer le bilan de l'association. Avec cette fois une procédure de redressement judiciaire et un plan social au bout.
L'hypothèse d'une reprise pourrait atténuer la casse. Mais le temps presse. "Le staff a la volonté de rester pour aider le club mais des éducateurs vont partir parce qu'il y a des offres pour travailler ailleurs. On a lutté mais j'ai l'impression que nous sommes arrivés au bout du bout."
20 CLUBS SUR LENNY PINTOR
Avant de quitter leur poste, les membres du staff ont tenu à accompagner les jeunes. En activant leurs réseaux, en passant des coups de fil, en recommandant des profils, ils ont tout fait pour recaser le maximum de jeunes dans d'autres centres. "Sept joueurs sont partis dans les clubs ajacciens, à l'ACA et au GFCA. Trois ont signé à l'OM. Certains ont été recrutés par Saint-Etienne, Toulouse ou Nîmes. D'autres sont à l'essai à Sochaux, Angers, Strasbourg, au Cercle Bruges ou encore à Vitesse Arnhem."
Quant à ceux qui étaient prévus pour intégrer le groupe professionnel comme Ben Amar ou Pintor, ils disposent de plusieurs propositions. "Ben Amar s'entraîne actuellement avec le Sporting Lisbonne. Pour Pintor, plus de 20 clubs lui ont fait des propositions. Dont le Milan AC, la Juventus ou Arsenal. Imaginez un peu les valeurs marchandes qu'on avait chez nous..."
Autant d'espoirs qui s'envolent. Des joueurs promis à un grand avenir qui ne porteront jamais le maillot du Sporting. Un gâchis qui a de quoi rendre fou. "Dans notre malheur, la seule satisfaction c'est de voir nos jeunes retrouver un projet ailleurs. On essaye de les accompagner pour les aider à rebondir. Mais il reste encore du boulot. Des U16 à la N3, 35 joueurs sont encore dans l'attente." Parmi eux, certains vont se retrouver sans club. D'autres risquent d'arrêter complètement le football. Par dégoût. Le Sporting, une formidable institution devenue une machine à briser des rêves.
LUIGGI et FERRANDI : le ticket de la dernière chance ?
Dans le feuilleton des repreneurs, la saga a connu de nouvelles péripéties. Après une énième réunion hier, cette fois en présence d'élus, Pierre-Noël Luiggi et Claude Ferrandi auraient décidé de présenter un projet de reprise. Seuls. Sans leurs compères. L'équipe des dix va donc être renommée "l'équipe des deux".
Une assemblée générale extraordinaire est prévue jeudi (voir par ailleurs le communiqué du club). Un nouveau bureau pourrait être composé afin de préserver l'association et de présenter une équipe en National 3. Dans ce nouveau projet, une demande de report des premières journées du championnat a été transmise à la FFF. Une requête indispensable à la reconstitution d'une équipe. Et au-delà, à la reconstruction d'un club.
LE COMMUNIQUÉ DU SCB
Les dirigeants du Sporting Club de Bastia tiendront une assemblée générale extraordinaire ce jeudi 17 août afin de laisser place à une nouvelle équipe de repreneurs constituée dans un premier temps des groupes Ferrandi et Oscaro. Cette démarche de refondation du Sporting Club de Bastia a d'ores et déjà reçu le soutien de la Collectivité territoriale de Corse et a vocation à s'ouvrir à d'autres partenariats.
Par ailleurs, le club a officiellement saisi la Fédération Française de Football afin d'obtenir le report des premières journées du championnat de National 3."
Libellés :
Sporting Club Bastia
lundi 14 août 2017
* Bonne nouvelle ?
Ferrandi-Luggi jeudi aux commandes du Sporting
Claude Ferrandi (directeur de la société NRC), et Pierre-Noël Luiggi (PDG d'Oscaro), sont appelés à reprendre officiellement le club bastiais jeudi, à l'issue d'une assemblée générale extraordinaire, une fois actée la démission des dirigeants en place.
Les deux chefs d'entreprise présenteront, dans la foulée, un plan qui devrait permettre au Sporting de repartir
en National 3.
Dans cette perspective, le club a demandé à la fédération française de football le report de ses quatre premiers matchs, pour réunir un staff technique, un effectif joueurs et bénéficier d'un peu de temps de préparation.
(Corse matin)
Claude Ferrandi (directeur de la société NRC), et Pierre-Noël Luiggi (PDG d'Oscaro), sont appelés à reprendre officiellement le club bastiais jeudi, à l'issue d'une assemblée générale extraordinaire, une fois actée la démission des dirigeants en place.
Les deux chefs d'entreprise présenteront, dans la foulée, un plan qui devrait permettre au Sporting de repartir
en National 3.
Dans cette perspective, le club a demandé à la fédération française de football le report de ses quatre premiers matchs, pour réunir un staff technique, un effectif joueurs et bénéficier d'un peu de temps de préparation.
(Corse matin)
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Sporting Club Bastia
vendredi 11 août 2017
* Le SCB, plus qu'un souvenir ? (site Corse-matin)
Face à la situation financière catastrophique de l'association SCB, l'équipe des dix repreneurs a décidé de jeter l'éponge.
Sans autre plan de sauvetage, le club bastiais pourrait disparaître.
Ou repartir en Régional 2.
Dramatique...
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Sporting Club Bastia
jeudi 10 août 2017
* "Il n'y a pas d'ardoise cachée" selon les dirigeants du SC Bastia
Les dirigeants, toujours en place, du Sporting ont répliqué par un communiqué diffusé en milieu de journée aux "différents articles et communiqués" parus ce jeudi.
(Corsenetinfos)
"L’ensemble de l’équipe dirigeante du Sporting Club de Bastia tient à répondre aux différents articles et communiqués parus ce jour. Concernant les comptes de l’association, le chiffre avancé de 1,2 millions d’euros est totalement fantaisiste. Les dettes sociales et fournisseurs s’élèvent à 350 000 Euros, dont l’URSSAF pour un montant de 43 000 Euros (et non 150 000 euros comme cela a été écrit). Contrairement à ce qui a pu être écrit, c’est l’Association qui doit à la SASP la somme de 500 000 Euros et non l’inverse. Cette somme est relative à des investissements financés par la SASP pour des travaux sur les infrastructures de l’Association durant l’exercice 2016/2017 et qu’elle se devait de réaliser, un prêt contracté par l’association en 2003 auprès de la SAOS et des avances de trésorerie.
Dans le bilan combiné, cette dette s’annule compte tenu de la subvention d’équilibre versée chaque année par la SASP à l’Association. Il n’y a donc pas d’ « ardoise » cachée.
Concernant l’avenir de l’institution Sporting Club de Bastia, l’équipe dirigeante ne peut se résoudre à laisser le SCB disparaître suite au retrait des différentes équipes de repreneurs. En outre, nous ne pouvons admettre le reproche du manque de volonté sérieuse de passer la main et encore moins l’absence de sincérité de notre part. Chaque chiffre ayant été précisément expliqué. Il est légitime désormais que nous nous posions la question de la volonté réelle de certains de s’investir dans la reconstruction du Sporting Club de Bastia. De plus, nous ne tolèrerons aucune attaque personnelle mettant en cause notre probité et notre honneur."
Les dirigeants du Sporting Club de Bastia ajoutent par ailleurs "qu'ils n’accepteront pas plus longtemps d’être la cible de calomnies et d’attaques dirigées dans différents articles parus" dans les colonnes de l'un de nos confrères.
(Corsenetinfos)
"L’ensemble de l’équipe dirigeante du Sporting Club de Bastia tient à répondre aux différents articles et communiqués parus ce jour. Concernant les comptes de l’association, le chiffre avancé de 1,2 millions d’euros est totalement fantaisiste. Les dettes sociales et fournisseurs s’élèvent à 350 000 Euros, dont l’URSSAF pour un montant de 43 000 Euros (et non 150 000 euros comme cela a été écrit). Contrairement à ce qui a pu être écrit, c’est l’Association qui doit à la SASP la somme de 500 000 Euros et non l’inverse. Cette somme est relative à des investissements financés par la SASP pour des travaux sur les infrastructures de l’Association durant l’exercice 2016/2017 et qu’elle se devait de réaliser, un prêt contracté par l’association en 2003 auprès de la SAOS et des avances de trésorerie.
Dans le bilan combiné, cette dette s’annule compte tenu de la subvention d’équilibre versée chaque année par la SASP à l’Association. Il n’y a donc pas d’ « ardoise » cachée.
Concernant l’avenir de l’institution Sporting Club de Bastia, l’équipe dirigeante ne peut se résoudre à laisser le SCB disparaître suite au retrait des différentes équipes de repreneurs. En outre, nous ne pouvons admettre le reproche du manque de volonté sérieuse de passer la main et encore moins l’absence de sincérité de notre part. Chaque chiffre ayant été précisément expliqué. Il est légitime désormais que nous nous posions la question de la volonté réelle de certains de s’investir dans la reconstruction du Sporting Club de Bastia. De plus, nous ne tolèrerons aucune attaque personnelle mettant en cause notre probité et notre honneur."
Les dirigeants du Sporting Club de Bastia ajoutent par ailleurs "qu'ils n’accepteront pas plus longtemps d’être la cible de calomnies et d’attaques dirigées dans différents articles parus" dans les colonnes de l'un de nos confrères.
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* Actu Sporting Club Bastia du jour
SI YOUTUBE BLOQUE LA VIDÉO
LIRE AVEC DAILYMOTION
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* Extrait ViaStella
La Communauté d’agglomération de Bastia (CAB) propriétaire du stade Armand Cesari a saisi le tribunal administratif de Bastia afin de procéder à la désignation d’un expert, après le naufrage sportif et financier du SC Bastia, locataire des lieux encore aujourd’hui.
500.000 euros.
C’est ce que le SC Bastia doit encore à la Communauté d’agglomération de Bastia pour la location du terrain, a-t-on appris jeudi matin, auprès de la collectivité.
La convention signée entre le CAB et la SASP Sporting Club de Bastia, qui fixe les modalités de location du stade, est toujours en vigueur, a indiqué le directeur général des services de la CAB, Jean-Michel Ferry, "et elle le restera jusqu’à un éventuel dépôt de bilan ou liquidation de la SASP".
Le SC Bastia, qui devrait au mieux évoluer en national 3, ne devrait plus jouer sur la pelouse du stade Armand Cesari, dont le coût d’utilisation serait trop onéreux pour un club amateur.
1,5 millions d'euros par an
La CAB devra donc déterminer rapidement "les conditions d’utilisation du stade, ainsi que sa finalité", explique encore la communauté d’agglomération. Car le stade Armand Cesari coûte cher, des frais fixes estimés à 1,5 millions d’euros par an:
* 5 à 600.000 euros pour l’entretien de la pelouse, l’éclairage et les assurances
* 400.000 euros pour l’entretien des bâtiments, bureaux, tribunes et toitures
* 500.000 euros au titre de l’annuité d’emprunt
Et comme si cela ne suffisait pas, la Communauté d’agglomération de Bastia doit également faire face à une détérioration de la pelouse, qui semble inutilisable faute d’entretien depuis plusieurs semaines.
Jusqu’alors la convention bipartite stipulait que cet entretien était entièrement à la charge du club.
La CAB a saisi le tribunal administratif de Bastia afin de procéder à la désignation d’un expert. Une démarche indispensable explique la communauté d’agglomération afin de disposer "d’un cadre juridique approprié pour défendre et préserver le patrimoine de la collectivité."
OU SI YOUTUBE BLOQUÉ
500.000 euros.
C’est ce que le SC Bastia doit encore à la Communauté d’agglomération de Bastia pour la location du terrain, a-t-on appris jeudi matin, auprès de la collectivité.
La convention signée entre le CAB et la SASP Sporting Club de Bastia, qui fixe les modalités de location du stade, est toujours en vigueur, a indiqué le directeur général des services de la CAB, Jean-Michel Ferry, "et elle le restera jusqu’à un éventuel dépôt de bilan ou liquidation de la SASP".
Le SC Bastia, qui devrait au mieux évoluer en national 3, ne devrait plus jouer sur la pelouse du stade Armand Cesari, dont le coût d’utilisation serait trop onéreux pour un club amateur.
1,5 millions d'euros par an
La CAB devra donc déterminer rapidement "les conditions d’utilisation du stade, ainsi que sa finalité", explique encore la communauté d’agglomération. Car le stade Armand Cesari coûte cher, des frais fixes estimés à 1,5 millions d’euros par an:
* 5 à 600.000 euros pour l’entretien de la pelouse, l’éclairage et les assurances
* 400.000 euros pour l’entretien des bâtiments, bureaux, tribunes et toitures
* 500.000 euros au titre de l’annuité d’emprunt
Et comme si cela ne suffisait pas, la Communauté d’agglomération de Bastia doit également faire face à une détérioration de la pelouse, qui semble inutilisable faute d’entretien depuis plusieurs semaines.
Jusqu’alors la convention bipartite stipulait que cet entretien était entièrement à la charge du club.
La CAB a saisi le tribunal administratif de Bastia afin de procéder à la désignation d’un expert. Une démarche indispensable explique la communauté d’agglomération afin de disposer "d’un cadre juridique approprié pour défendre et préserver le patrimoine de la collectivité."
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Sporting Club Bastia
mercredi 9 août 2017
mardi 8 août 2017
lundi 7 août 2017
* Onze repreneurs pour ramener le Sporting Club de Bastia au plus haut niveau dans les cinq ans (RCFM)
Un rayon de soleil sur le devenir du Sporting Club de Bastia.
Les onze investisseurs réunis autour de Jean Dominici, le président de la chambre de commerce de Haute-Corse, Pierre Noel Luiggi, à la tête du groupe Oscaro, et Fréderic Antonetti, entérinent un accord pour reprendre le club.
Un nouveau bureau devrait être élu dans les prochaines 48h après un audit de l'association SCB. Les repreneurs se donnent cinq ans pour ramener le Sporting Club de Bastia au plus haut niveau.
Claude Ferrandi, membre du groupe des repreneur, annonce les conditions de l'accord : « On a trouvé un accord au sein du groupe qui avait tenté de reprendre le club en ligue 2. Nous avons poursuivi notre travail et validé le projet national 3. Nous sommes en phase de prise de contrôle de l’association. Il y a un gros travail sur le plan sportif. Les délais sont très courts. Nous sommes une fois encore dans l’urgence. Nous allons bâtir le groupe qui sera la cheville ouvrière de notre projet »
Pierre Noël Luigi, à la tête du groupe Oscaro, explique les conditions de reprises : « Jusqu’à aujourd’hui, l’association avait un budget de 2M€ annuel. Nous auditons en ce moment même les comptes de l’association. Et nous allons nous présenter au bureau. Nous conserverons le nom de Sporting Club de Bastia. Nous prendrons le contrôle dans les prochaines 48h pour ensuite travailler sur le projet ambitieux que nous envisageons sur cinq ans. Un projet que nous avons validé avec plusieurs investisseurs insulaires. Nous avons eu les représentants des « socios ». Nous souhaitons avoir un de leurs membres comme administrateur à nos côtés ».
Les onze investisseurs réunis autour de Jean Dominici, le président de la chambre de commerce de Haute-Corse, Pierre Noel Luiggi, à la tête du groupe Oscaro, et Fréderic Antonetti, entérinent un accord pour reprendre le club.
Un nouveau bureau devrait être élu dans les prochaines 48h après un audit de l'association SCB. Les repreneurs se donnent cinq ans pour ramener le Sporting Club de Bastia au plus haut niveau.
Claude Ferrandi, membre du groupe des repreneur, annonce les conditions de l'accord : « On a trouvé un accord au sein du groupe qui avait tenté de reprendre le club en ligue 2. Nous avons poursuivi notre travail et validé le projet national 3. Nous sommes en phase de prise de contrôle de l’association. Il y a un gros travail sur le plan sportif. Les délais sont très courts. Nous sommes une fois encore dans l’urgence. Nous allons bâtir le groupe qui sera la cheville ouvrière de notre projet »
Pierre Noël Luigi, à la tête du groupe Oscaro, explique les conditions de reprises : « Jusqu’à aujourd’hui, l’association avait un budget de 2M€ annuel. Nous auditons en ce moment même les comptes de l’association. Et nous allons nous présenter au bureau. Nous conserverons le nom de Sporting Club de Bastia. Nous prendrons le contrôle dans les prochaines 48h pour ensuite travailler sur le projet ambitieux que nous envisageons sur cinq ans. Un projet que nous avons validé avec plusieurs investisseurs insulaires. Nous avons eu les représentants des « socios ». Nous souhaitons avoir un de leurs membres comme administrateur à nos côtés ».
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dimanche 6 août 2017
samedi 5 août 2017
vendredi 4 août 2017
* SC Bastia : ce sera finalement le National 3... Avec les Socios (site Corse-matin)
TRISTE FIN !
Les dirigeants ont rencontré les représentants des Socios aujourd'hui entre 17 et 19 heures au stade Armand Cesari.
À l'issue de la réunion, les Socios ont déclaré que les dirigeants déposaient le bilan la semaine prochaine et que le club repartait en N3 !
L'association est désormais seule maître à bord et les désormais ex-dirigeants ont assuré qu'ils ne la laisseraient pas en déficit financier.
De la Ligue 1 à la Nationale 3, une chute très rare dans le football français...
Les dirigeants ont rencontré les représentants des Socios aujourd'hui entre 17 et 19 heures au stade Armand Cesari.
À l'issue de la réunion, les Socios ont déclaré que les dirigeants déposaient le bilan la semaine prochaine et que le club repartait en N3 !
L'association est désormais seule maître à bord et les désormais ex-dirigeants ont assuré qu'ils ne la laisseraient pas en déficit financier.
De la Ligue 1 à la Nationale 3, une chute très rare dans le football français...
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* Une page se tourne pour le SC Bastia qui devrait déposer le bilan en début de semaine prochaine © Radio France -
L’avenir du Sporting Club de Bastia s’est un peu plus assombri.
La Fédération Française de Football vient de confirmer la perte du statut professionnel du club.
Une décision qui conduira inévitablement à un dépôt de bilan.
Il y a eu quelques lueurs d’espoirs.
Mais tout s’est écroulé, progressivement.
Le « coup de grâce » vient d’être porté par la Fédération Française de Football.
Elle a confirmé que le Sporting Club de Bastia perdait son statut de club professionnel.
Une décision lourde de conséquences qui devrait logiquement déboucher sur un dépôt de bilan.
Catastrophe économique
Le SCB touche donc le fond. Et entraine avec lui des dizaines et dizaines de personnes.
C’est une véritable catastrophe économique pour la région.
Il y a d’une part les employés du club, plus de 70 familles, qui vont définitivement se retrouver une main devant, une main derrière.
Il y a aussi les fournisseurs qui ne sont plus payés pour certains depuis plusieurs mois déjà et qui n’encaisseront donc plus leur dû.
Il y aura enfin une perte majeure pour les commerces qui fonctionnaient grâce au rayonnement de l’équipe première.
Enfin, sportivement, le SCB repartira en championnat de national 3.
Avec quelle équipe ?
Les dirigeants encore en place communiqueront prochainement sur la situation du club.
L’idée du dépôt de bilan est sérieusement avancée. Un dépôt de bilan qui pourrait être effectif dès le début de la semaine prochaine.
La Fédération Française de Football vient de confirmer la perte du statut professionnel du club.
Une décision qui conduira inévitablement à un dépôt de bilan.
Il y a eu quelques lueurs d’espoirs.
Mais tout s’est écroulé, progressivement.
Le « coup de grâce » vient d’être porté par la Fédération Française de Football.
Elle a confirmé que le Sporting Club de Bastia perdait son statut de club professionnel.
Une décision lourde de conséquences qui devrait logiquement déboucher sur un dépôt de bilan.
Catastrophe économique
Le SCB touche donc le fond. Et entraine avec lui des dizaines et dizaines de personnes.
C’est une véritable catastrophe économique pour la région.
Il y a d’une part les employés du club, plus de 70 familles, qui vont définitivement se retrouver une main devant, une main derrière.
Il y a aussi les fournisseurs qui ne sont plus payés pour certains depuis plusieurs mois déjà et qui n’encaisseront donc plus leur dû.
Il y aura enfin une perte majeure pour les commerces qui fonctionnaient grâce au rayonnement de l’équipe première.
Enfin, sportivement, le SCB repartira en championnat de national 3.
Avec quelle équipe ?
Les dirigeants encore en place communiqueront prochainement sur la situation du club.
L’idée du dépôt de bilan est sérieusement avancée. Un dépôt de bilan qui pourrait être effectif dès le début de la semaine prochaine.
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jeudi 3 août 2017
mercredi 2 août 2017
mardi 1 août 2017
* Le SC Bastia reste en N1... mais perd son statut pro
Donc plus d'agrément pour le centre de formation, plus d'aide à la descente, pas de coupe de la Ligue.
Les dirigeants étaient ce mardi soir dans la plus grande confusion et attendaient les avis d'un spécialiste du droit sportif pour démêler une situation qui reste toujours chaotique.
Une communication est attendue ce mercredi.
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* Canicule : la Corse en vigilance orange
Depuis 16 heures, la carte de Météo France place la Corse en vigilance orange au regard de l'épisode caniculaire.
Cela signifie que, les températures dépassent les 23 degrés durant la nuit et 33 degrés en journée.
La nuit dernière, il faisait 30,5 degrés à Marignana, un record en France Métropolitaine.
L'épisode devrait se poursuivre jusqu'à la fin de la semaine, selon les services de l'Etat.
L'alerte orange correspond au niveau 3 du système d'alerte dont le maximum est 4.
Il s'agira donc d'être très prudent, les phénomènes qui font l'objet d'une alerte de niveau 3 peuvent être dangereux.
Il est préconisé de passer au moins trois heures dans la journée dans un endroit frais et de se mouiller le corps plusieurs fois par jours.
"Buvez fréquemment et abondamment même sans soif et évitez de sortir aux heures les plus chaudes".
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