Météo France a placé à nouveau ce jeudi la Corse en vigilance météorologique jaune pour « Vent fort ». L'alerte débutera ce soir à 20 heures et prendra fin le vendredi 28 février à 8 heures au plus tôt. En soirée et nuit prochaine, de fortes rafales d’ouest sont attendues sur la Corse. (Corse Net Infos)
Rencontre à 18h Les deux équipes se quittent sur un score vierge et restent co-leaders du championnat de National 2. Le Sporting Club Bastia rate une occasion de prendre la tête. https://www.facebook.com/scbastia/videos/1940907989386305/
Plus de 1 000 supporters bastiais sont attendus dans les Ardennes pour le choc de la National 2. Trois avions et une dizaine de bus sont mobilisés pour l'occasion. Du rarement vu pour un match de 4è division. Un déplacement d'une telle envergure, cela ne s'était pas vu depuis bien longtemps. Certains avaient coché la date du 15 février depuis bien longtemps. Lire suite article : Corse-matin
La tempête Ciara qui touche actuellement le Nord de la France va atteindre la Corse dans la nuit de ce dimanche à lundi et impacter la région jusqu'à mercredi prévient Météo-France. Le service météorologique annonce que le vent va se renforcer dans l'après-midi de ce lundi 10 février et devenir violent. Météo-France prévoit pour la nuit de lundi à mardi des rafales à 200/220 km/h vers le cap Corse, 120/150 km/h sur la Balagne, 120/130 km/h sur Bastia, 120/140 km/h sur le Sud de l'île. Le vent commencera à faiblir progressivement à partir de mercredi après après-midi. (extrait Corse-matin)
Ce soir au Stade Armand-Cesari Furiani à 19h le Sporting recevait Haguenau pour le compte de la 18è journée de championnat. Supporters : 4000 environ Pelouse naturelle en bon état Temps : beau et frais Buts : Le Cardinal (2è) – Bocognano (82è)
Ermanno (Claudio Segaluscio) est un jeune loubard de banlieue, indifférent à tout. Il vit de menus larcins et passe le plus clair de son temps dans des salles de jeu.
Un jour, son oncle (Vitaliano Trevisan) lui propose un emploi lucratif et temporaire.
Comme avec sa femme Bianca (Barbara Ronchi), ils ne peuvent avoir d’enfant, ils veulent en adopter un clandestinement.
Ce sera celui de Lena (Sandra Drzymalska), une jeune Polonaise pauvre venue spécialement en Italie pour vendre l’enfant qu’elle porte. La mission d’Ermanno sera d’habiter avec elle jusqu’à la naissance du bébé. Le jeune homme s’acquitte de cette tâche avec son indifférence coutumière et tout se passe bien jusqu’à cette nuit où Lena doit être hospitalisée d’urgence et accouche prématurément. La petite Sole voit le jour et ne supporte que le lait maternel. La cohabitation et le séjour se prolongent. Lena allaite sa fille et Ermanno trouve rapidement les gestes et les comportements d’un véritable père.
Ma note :
vu au cinéma 7è Art à Furiani séance de 16h45
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NOUR
de Maurizio Zaccaro
d'après le livre
Lacrima di sale (les larmes de sel)
de Pietro Bartolo et Lidio Tilotta
drame 2019 - 1h32
Des bateaux chargés de migrants continuent d’arriver sur l’île de Lampedusa.
Pietro Bartolo (Sergio Castellitto), le médecin de l’île, est un humaniste plein de bonté qui compte les morts et s’occupe comme il peut des vivants rescapés.
De l’un de ces bateaux descend un jour la petite Nour (Linda Mresy), une adorable gamine syrienne de 11 ans. Elle est seule et triste. N’écoutant que son coeur, Pietro la prend en charge. Mais l’adolescente s’enfuit sans cesse à la recherche de ses parents. Que sont-ils devenus ? Le médecin mettra tout en œuvre pour essayer de les retrouver. Ses recherches étant infructueuses, il n’hésitera pas à s’adresser à un passeur malgré tout le mépris qu’il a pour ce genre d’individu. Seul cet homme sait ce qui s’est passé lors du départ de la famille de Nour.
Vincent (Giulio Pranno) a seize ans lorsque Willi (Claudio Santamaria), son père biologique, le rencontre pour la première fois.
Vincent est autiste et vit à Trieste avec sa mère, Elena (Valeria Golino) et Mario (Diego Abatantuono) son compagnon.
Willi qui rêvait d’une carrière internationale dans la chanson ne vit que de petits contrats pour des mariages et des fêtes de village. Vincent s’attache à lui et se cache dans sa voiture. Comme il doit honorer des contrats en Slovénie et en Croatie, il n’a pas le temps de faire demi-tour pour ramener son fils. Inquiets, Elena et Mario se lancent alors à sa poursuite sans trop savoir comment le retrouver. Du coup, Willi passe plusieurs jours avec son fils, il apprend à le connaître et une belle complicité s’instaure entre eux.
Naples aujourd’hui. À la sortie d’une discothèque, deux jeunes miment un duel, mais lorsque le coup part l’un d’eux est blessé. Il est amené dans la villa de Don Antonio Barracano (Francesco di Leva), où réside contraint et forcé le Professeur (Roberto De Francesco), son médecin attitré pour des opérations discrètes.
Don Antonio est surnommé le Maire du quartier Sanità. C’est un boss de la camorra respecté car il rend la justice et craint parce que c’est parfois de manière expéditive. Le casier judiciaire de Don Antonio est vierge alors qu’il est un assassin. Mais la culpabilité n’est qu’une question de témoignages lors d’un procès et Barracano le sait très bien. Ce matin-là, Don Antonio règle plusieurs différends avant de se saisir d’une affaire délicate. Ce film représentait l’Italie en compétition officielle lors de la dernière Mostra de Venise, en septembre 2019.
Sur les notes des chansons éternelles de Lucio Battisti, Matteo (Michele Riondino) et Francesca (Laura Chiatti) découvrent l’amour.
Ils s’éloignent, se retrouvent et se poursuivent tandis qu’ils caressent des rêves différents : elle désire être une femme libre et Matteo veut devenir musicien.
Francesca entame un long voyage autour du monde qui durera cinq ans et Matteo écrit entre-temps des chansons d’amour. À son retour, elle emporte le vent des changements des années 70 : émancipation, progrès et libération. Lorsque Francesca et Matteo se retrouvent enfin, leur amour est encore plus intense qu’auparavant, mais leur histoire suivra des parcours inattendus. Pour la première fois, le festival italien de Bastia présente une comédie musicale.
C’est un film vivifiant, plein de joie, de sentiments et de bonne humeur communicative, qui permet de réécouter les plus belles mélodies de Lucio Battisti, l’un des plus illustres chanteurs italiens.
Paolo (Pierfrancesco Diliberto) est le genre d’homme à se poser des questions qu’il pense existentielles : la lumière du frigo s’éteint-elle vraiment quand on ferme la porte ? Pourquoi le marteau brise-vitre se trouve derrière une vitre en verre?
Pourquoi la phrase «Je pense toujours à toi, mais pas tous les jours» n’est en réalité pas si belle que ça ? En plus de se poser ces questions, Paolo a des manies, notamment celle de calculer le moment idéal pour passer en scooter au feu rouge à une intersection. Malheureusement, cette fois, il a mal calculé son coup et meurt percuté par une voiture. Suite à une erreur des «autorités de l’au-delà», Paolo a tout de même le droit de retourner vivre sur terre. Mais 1h32, pas une minute de plus. C’est l’occasion pour lui de revivre les moments forts de sa vie et d’en vivre de nouveaux avec sa femme Agata (Thony).
Une comédie romantique pleine de tendresse qui baigne dans un univers joliment fantastique.
Ma note :
vu au cinéma 7è Art à Furiani séance de 19h00
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BENTORNATO PRESIDENTE
scénario : Fabio Bonifacci
comédie - 2019 - 1h36
Revenir faire de la politique par amour est une noble cause.
Oui, mais de quel amour s’agit-il ? Huit années se sont écoulées depuis l’élection de Peppino Garibaldi (Claudio Bisio) comme président de la République italienne.
Il en avait donc fini avec la politique et était retourné dans ses montagnes.
Vivre à l’air pur, cueillir des champignons, pêcher des truites dans les torrents glacés, c’est ce qu’aime faire Peppino, contrairement à sa femme Janis (Sarah Felberbaum) qui souffre de cette vie trop tranquille. Elle ne supporte plus de voir son mari s’extasier devant la pâte à pain qui lève. Elle ne reconnaît plus l’homme passionné qui voulait transformer l’Italie et dont elle était tombée amoureuse. Seulement voilà, l’Italie est confrontée à un énième casse-tête politique, celui de former un nouveau gouvernement. Janis est appelée à l’aide. Elle accepte de retourner à Rome avec leur fille Guevara (Roberta Volponi). Pour Peppino c’est le dilemme : reprendre sa vie de politicien ou perdre tout ce qu’il aime.
Une farce politique drolatique qui, sous son aspect divertissant, est très pertinente et lucide sur le contexte actuel italien.
Africo est un village perché et perdu dans le massif de l’Aspromonte au sud de la Calabre.
En 1951, tous ses habitants se sont rendus à la Marina pour voir le préfet,protester contre leurs conditions de vie et réclamer un médecin. Le préfet promet.
Au même moment Giulia (Valeria Bruni Tedeschi), une institutrice du nord de l’Italie arrive. Elle est venue volontairement pour faire classe aux enfants. Le village est désert, il n’y a que le Poète (Marcello Fonte) qui l’accueille. Elle rouvre l’école et rassemble les enfants. Une femme meurt en couches alors qu’aucun médecin n’est arrivé. Le problème est qu’aucune route n’a jamais été tracée pour relier Africo au chef-lieu. Les villageois, tous solidaires et guidés par Peppe (Francesco Colella), décident alors construire cette route contre l’avis des autorités et surtout contre celui de Don Totò (Sergio Rubini), un propriétaire mafieux local.
C’est un drame rural intense dont on retrouvera inévitablement beaucoup de liens avec la Corse.
Ma note :
vu au cinéma 7è Art à Furiani séance de 19h00
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RIDE
Scénario :Valerio Mastandrea, Enrico Audenino
drame - 2019 - 1h30
Malgré tous ses efforts, Carolina (Chiara Martegiani) n’arrive pas à pleurer. Pourtant, elle est à la veille d’enterrer son mari, un jeune ouvrier mort sur son lieu de travail. Elle a beau écouter leur chanson fétiche, revoir d’anciennes photographies, observer la table où il a déjeuné pour la dernière fois, rien n’y fait.
Et les visites n’y changent rien : le premier amour en pleurs de son défunt mari, le couple d’amis qui se sépare, la voisine qui vient dispenser ses conseils, son propre fils qui pense qu’elle n’est pas malheureuse et son beau-frère (Stefano Dionisi), fils maudit, revenu affronter son père pour l’occasion. Au-delà du risque de heurter tous ses proches en ne se montrant pas éplorée, c’est la peur de se décevoir elle-même qui en fait hante Carolina. C’est le premier long-métrage en tant que réalisateur du célèbre comédien Valerio Mastandrea. Il nous offre un beau film sur le deuil et surtout sur… ceux qui restent.
L'épisode météorologique attendu aujourd'hui, les deux départements de Corse ont été placés en vigilance orange par Météo-France. Des rafales de vent allant jusqu'à 170 km/h sont prévues, notamment sur les caps. Lire article complet sur : Corse-matin
Ce soir à 20h30, les bleus faisaient leur entrée en Coupe de Corse (8èmes de finale) au stade Santos-Manfredi face à l’USC Corte (R1). Le SCB s’impose 3-0 et se qualifie pour les quarts de finale de la Coupe de Corse.
* COMPLÉMENT SUR TRAIN CORSE ARTICLES PRESSES ET PHOTOS (maj 25 mai 2023)
* ARCHIVES PRESSES NEIGE EN CORSE
* ALTERNANCE jour-nuit et ensoleillement de la Terre
* La Corse dans la rose des vents
Grands courants ou petites brises,
l' île plie mais rompt aussi parfois
sous la force des éléments.
226km/h le 9 octobre 1994 à Bonifaccio
216km/h le 9 décembre 1993 Cap Corse
212km/h le 27 février 1990 à Île-Rousse
200km/h le 5 janvier 2012 Cap Corse
203km/h le 23 août 1956 à Bastia
U Grecale :
De composante nord-est, c'est un tyrrhénien, fréquent en automne et au printemps, très lié à des tempêtes en Méditerranée. On lui doit aussi des pluies abondantes sur la façade orientale de la Corse.
U Levante :
Comme son nom l' indique, c' est un vent d' est qui, lorsqu' il est très soutenu franchit les lignes des sommets et se manifeste jusque sur les côtes occidentales de la Corse.
U Libecciu :
C' est le grand vent de la Corse et ses effets se sont sentir sur toute l' île mais à des degrés divers et son orientation varie en fonction du relief : ainsi il est direction sud-ouest sur le sud de la Corse, mais devient un vent d' ouest en Balagne et sur le Cap Corse occidental.
Un vent généralement sec en été, se chargeant d' humidité (pluie) en hiver devenant porteur de pluie en particulier sur les versants occidentaux.
U Maestrale (mistral):
Venant du nord-ouest, c'est un vent brusque, violent, sec en été, plus humide en hiver, favorise une bonne visibilité.
U Punente :
C' est un vent chaud et sec d' ouest qui se mélange souvent au Libecciu.
U Siroccu :
C' est un vent du sud/sud-est, chaud et humide, souvent accompagné de poussières rouges en provenance du Sahara, de brumes et de brouillards côtiers. Apporte de violents orages.
A Tramuntana :
C' est le grand vent du nord venant des Alpes, sec, violent et froid. Il souffle en hiver en longues rafales et purifie l' air.
Les brises naissent de la différence de températures entre la terre et la mer.
Des vents de terre et de mer se forment en cours de journée, générés par la différence de réchauffement entre terre et eau. Les vents portent le nom de la direction empruntée. Ainsi le vent de terre souffle vers la mer.
U Mezziornu ou L' Ambata (brise de mer) :
2 à 4 heures après le lever du soleil, atteint son point culminant entre 13h et 14h et s' arrête 1 à 2h avant le coucher du soleil.
U Terranu ou L' Embria (brise de terre) :
Souffle au cours de la nuit lorsque la température de la terre est plus basse que celle de la mer.
Les deux brises sont séparées par un très court moment où, la différence thermique étant pratiquement nulle, c' est le grand calme avec une mer d' huile.
Il existe également des brises de pente qui soufflent à l' intérieur des terres.
Dans la journée, les versants exposés au soleil et leurs sommets se réchauffent plus vite que le fond des vallées : c' est la brise de vallée ou Serenu.
La nuit, l' air plus froid de la montagne s' écoule le long des pentes vers le fond des vallées : c' est la brise de montagne ou U Muntese.
Il faut aussi noter un phénomène particulier, l' effet defoehn. Il se produit lorsque poussé par le vent, l' air humide s' élève pour franchir une montagne, ce faisant, il se détend et se refroidit, la vapeur d' eau qu' il contient se condense et se transforme en pluie. Devenu plus sec, cet air franchit le sommet et dévale la pente opposée en se comprimant. Il s' échauffe alors, il fait beau et plus chaud.
Très souvent lorsque l' effet de foehn se produit et qu' il y a du vent fort en altitude, apparaissent des nuages d' onde, aux profils souvent étranges en forme d' os de seiche qui se détachent sur un ciel limpide : c' est A Seppia.
(extraits météo Corse Jean-Paul Giorgetti)
* AVC appeler le 15
Vidéo d’animation sur les risques d' AVC utile à découvrir
* Vidéo sur le mal de dos causé par une mauvaise position face à l'ordinateur