mercredi 30 novembre 2016
mardi 29 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain) dernière séance
TRUMAN
comédie dramatique hispano-argentin
réalisée par Cesc Gay
date de sortie 6 juillet 2016 (1h48)
Ils sont loin de se douter qu’ils vont passer avec Truman, le chien fidèle de Julian, quatre jours ensemble, faits de souvenirs, d'émotion et de surprises intenses, amplifiés par la grave maladie de Julian.
Actrice : Dolores Fonzi (Paula)
Ma note :
vu au cinéma 7ème Art de Furiani à 16h30
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FESTIVALS FILMS à BASTIA
lundi 28 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain)
EL CLAN
thriller - drame
film argentino- espagnol
réalisé en 2015 par Pablo Trapero
Date de sortie 10 février 2016 (1h49)
(D'APRÈS UNE HISTOIRE VRAIE
APRÈS 7 ANS SOUS LA DICTATURE LA PLUS MONSTRUEUSE DE SON HISTOIRE, L'ARGENTINE RETOURNE À LA DÉMOCRATIE
TROIS ANS AUPARAVANT 1982)
SYNOPSIS :
Dans l'Argentine du début des années quatre-vingt, un clan machiavélique, auteur de kidnappings et de meurtres, vit dans un quartier tranquille de Buenos Aires sous l'apparence d'une famille ordinaire.
Il contraint Alejandro (Peter Lanzani), son fils aîné et star montante du rugby au sein du Club Atlético San Isidro, à lui fournir des candidats au kidnapping.
Celui-ci évolue au prestigieux club Le Casi et dans la mythique équipe nationale, Los Pumas.
Il est ainsi, par sa popularité, protégé de tous soupçons.
Ma note :
vu au cinéma 7ème Art de Furiani à 16h30
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FESTIVALS FILMS à BASTIA
dimanche 27 novembre 2016
* Nice 1 - Bastia 1 (14ème journée)
MATCH SUIVI À LA RADIO
LE SPORTING RAMÈNE UN BON POINT DE NICE
PROCHAINE RENCONTRE CONTRE BORDEAUX
MERCREDI PROCHAIN À FURIANI 19h
LE SPORTING RAMÈNE UN BON POINT DE NICE
PROCHAINE RENCONTRE CONTRE BORDEAUX
MERCREDI PROCHAIN À FURIANI 19h
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Sporting Club Bastia
samedi 26 novembre 2016
* Le survol de la zone sinistrée de Furiani en drone
Doc exclusif tourné le vendredi 25 novembre par les pompiers des Bouches du Rhône venus en renfort pour épauler leurs collègues corses et évaluer les dégâts des inondations dans le secteur de la zone commerciale de Furiani.
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
* Extrait Corse-matin de ce jour
Même si les éléments se déchaînent, le déclenchement d'une alerte rouge doit répondre à un ensemble de paramètres, sur la base d'une veille météo en amont.
Déclenchée pour la première fois en Corse, l'alerte rouge est la réponse à une dégradation exceptionnelle de la météo.
Elle implique une évolution du dispositif de secours et des messages au grand public.
Explications le point de bascule est intervenu ce jeudi 24 novembre, à 13 heures.
Un temps fort dans l'histoire de la gestion des épisodes météo à risque en Corse : la première fois que l'île voit sa vigilance orange virer au rouge.
Qui active ce degré d'alerte ?
À partir de quelles conditions météorologiques ?
Pour quoi faire ?
Un retour sur les événements qui viennent de secouer l'ensemble de la Haute-Corse s'impose pour mieux comprendre.
Au-delà de la vigilance jaune, celle qui ne marque qu'un risque sur des activités météo dépendantes à partir de conditions relativement habituelles pour un territoire, la vigilance orange est moins fréquente, mais la Corse y a quand même droit au moins une fois par an.
Elle met cette fois en garde face à un danger météo qui guette le grand public dans son activité quotidienne.
Ce degré de vigilance est synonyme de mise en place d'une cellule de crise, puis de messages à l'attention de la population dès l'instant où il est préférable de rester chez soi, d'éviter de prendre la route.
L'alerte rouge correspond pour sa part à un phénomène météo d'une intensité rare, à un grave danger pour la population d'un département.
"Hier (lire jeudi 24) en début de matinée, on observait déjà des relevés inquiétants, raconte Patrick Rebillout, directeur du Centre Météo France d'Ajaccio. Notamment un pluviomètre qui donnait déjà 200 mm. Ce qui nous a fait prendre la décision de faire passer le niveau d'alerte de l'orange au rouge en début d'après-midi, c'est la quantité d'eau déjà tombée ramenée à celle à celle qui était attendue. Bref, une situation qui s'annonçait plus que compliquée". Plus que l'intensité, la constance des fortes pluies durant de longues heures aura donc été l'élément déclencheur. Un curseur que Météo France se devait de faire bouger un signal donné à l'autorité préfectoral pour faire monter en puissance un dispositif déjà en éveil sous vigilance orange.
Salutaire anticipation
"Trois phénomènes cumulatifs ont joué, explique Alain Thirion, le préfet de Haute-Corse. Les fortes précipitations constatées sur certains sites, des vents très forts qui soufflaient jusqu'150km/h au point de provoquer des phénomènes de submersions marines, des phénomènes de puissants déversements dans les cours d'eau et des inondations".
Dès lors sous l'autorité du préfet, le dispositif a passé la vitesse supérieurs sur le terrain, grâce à tous les acteurs de la Sécurité Civile et aux services publics concernés. Mais de l'avis d'Alain Thirion, le temps de la vigilance orange avait permis d'aborder cette première alerte rouge de l'histoire de la Corse dans les meilleures conditions. Notamment par la prise de décisions jugées capitales. "Nous étions déjà en ordre de bataille. Dès 9h30, j'avais réuni le Centre opérationnel départemental pour mobiliser déjà l'ensemble des secours les interlocuteurs concernés. Notamment le SDIS, la direction des routes du conseil départemental et celle de la CTC. Ce pilotage en temps réel de la situation nous a permis de décider le confinement pour les élèves, et non pas, comme on le fait habituellement en vigilance orange, la fermeture des écoles et la mobilisation des transports scolaires". L'option a été visiblement privilégiée pour éviter d'engager du monde sur des axes routiers dont on savait qu'ils allaient subir la colère du ciel.
L'importance du "ni trop tôt, ni trop tard"
Il aurait fallu, par la suite, gérer un véritable chaos. Parer au plus pressé face à l'urgence, à la panique, parfois à l'incivisme. Mais hier matin, à l'heure où le soleil éclairait déjà l'ampleur des dégâts, le dispositif qui venait d'essuyer un peu moins de 24 heures de tempête avait plutôt le sentiment du devoir accompli. "On s'en tire assez bien, fait remarquer le préfet, au regard de ces intempéries, des quelques 200 interventions, près de 120 mises en sécurité et d'une douzaine de sauvetages. Mais on a toujours de la chance de ne pas compter de victime dans ce genre de situation. Si un toit s'effondre sur une personne, vous n'y pouvez rien, quel que le dispositif. Je crois vraiment que le fait de mettre en place le COS avant la bascule au rouge a été important".
À la station de Campo dell'Oro qui, la veille au soir, n'avait coupé le contact qu'aux alentours de minuit, Patrick Rébillout et les troupes de Météo France avaient également le sentiment d'avoir été à la hauteur de cette première alerte rouge. Malgré des propos polémiques déjà véhiculés. "On a fait référence à l'Italie qui avait soi-disant déclenché l'alerte rouge 36 heures auparavant. Je ne sais pas comment ça fonctionne là-bas. Chez nous, une telle décision correspond à un ensemble de choses bien précises. Passer ce cap, c'est d'abord une veille météo de 24 heures, la nécessité d'attendre, non pas le dernier moment, mais une forte probabilité pour faire la bascule de l'orange au rouge. Sauf à vouloir crier au loup dès qu'on entrevoit des précipitations menaçantes, il faut être prudent. Le déclenchement d'une alerte rouge implique beaucoup de mouvement sur le terrain. Le faire à la hâte peut conduire au désordre et à l'inefficacité".
Article signé par Noël Kruslin
Déclenchée à 44 reprises entre métropole et outre-mer
L'histoire du niveau d'alerte rouge est encore jeune.Elle n'a commencé qu'en 2001, mais c'est à la suite des tempêtes dévastatrices de 1999, en région parisienne, que la nécessité d'une nouvelle approche du risque est véritablement apparue.
"On s'est, en fait, aperçu qu'il existait une faille. Les acteurs de la Sécurité Civile étaient alertés, mais pas le grand public, explique Patrick Rebillout.
"La culture du risque va d'ailleurs prendre de plus en plus d'importance si le phénomène de changement climatique continue à s'accompagner d'épisodes météo aussi agressifs. Le grand public va impérativement devoir l'acquérir".
En 15 ans, l'alerte rouge a été déclenchée 27 fois en France métropolitaine. Le Gard avait vécu la grande-première nationale le 9 septembre 2002 lors des inondations meurtrières qui avaient fait 24 victimes.
D'autres événements ayant vu à ce point grimper le côte d'alerte ont également eu à déplorer un bilan humain très lourd. L'alerte rouge produit toujours aussi une "addition" salée.
Le record est détenu par le Sud-Ouest de la France dont le passage de la tempête Klauss en 2009 avait coûté 1,63 milliards d'euros.
Les territoires d'outre-mer ont inauguré la vigilance rouge un peu plus tard, en 2007, le cyclone Garnier a frappé la Réunion.
Ce degré d'alerte a été quand même déclenché 17 fois, depuis lors, sur l'ensemble de ces territoires. NK
Déclenchée pour la première fois en Corse, l'alerte rouge est la réponse à une dégradation exceptionnelle de la météo.
Elle implique une évolution du dispositif de secours et des messages au grand public.
Explications le point de bascule est intervenu ce jeudi 24 novembre, à 13 heures.
Un temps fort dans l'histoire de la gestion des épisodes météo à risque en Corse : la première fois que l'île voit sa vigilance orange virer au rouge.
Qui active ce degré d'alerte ?
À partir de quelles conditions météorologiques ?
Pour quoi faire ?
Un retour sur les événements qui viennent de secouer l'ensemble de la Haute-Corse s'impose pour mieux comprendre.
Au-delà de la vigilance jaune, celle qui ne marque qu'un risque sur des activités météo dépendantes à partir de conditions relativement habituelles pour un territoire, la vigilance orange est moins fréquente, mais la Corse y a quand même droit au moins une fois par an.
Elle met cette fois en garde face à un danger météo qui guette le grand public dans son activité quotidienne.
Ce degré de vigilance est synonyme de mise en place d'une cellule de crise, puis de messages à l'attention de la population dès l'instant où il est préférable de rester chez soi, d'éviter de prendre la route.
L'alerte rouge correspond pour sa part à un phénomène météo d'une intensité rare, à un grave danger pour la population d'un département.
"Hier (lire jeudi 24) en début de matinée, on observait déjà des relevés inquiétants, raconte Patrick Rebillout, directeur du Centre Météo France d'Ajaccio. Notamment un pluviomètre qui donnait déjà 200 mm. Ce qui nous a fait prendre la décision de faire passer le niveau d'alerte de l'orange au rouge en début d'après-midi, c'est la quantité d'eau déjà tombée ramenée à celle à celle qui était attendue. Bref, une situation qui s'annonçait plus que compliquée". Plus que l'intensité, la constance des fortes pluies durant de longues heures aura donc été l'élément déclencheur. Un curseur que Météo France se devait de faire bouger un signal donné à l'autorité préfectoral pour faire monter en puissance un dispositif déjà en éveil sous vigilance orange.
Salutaire anticipation
"Trois phénomènes cumulatifs ont joué, explique Alain Thirion, le préfet de Haute-Corse. Les fortes précipitations constatées sur certains sites, des vents très forts qui soufflaient jusqu'150km/h au point de provoquer des phénomènes de submersions marines, des phénomènes de puissants déversements dans les cours d'eau et des inondations".
Dès lors sous l'autorité du préfet, le dispositif a passé la vitesse supérieurs sur le terrain, grâce à tous les acteurs de la Sécurité Civile et aux services publics concernés. Mais de l'avis d'Alain Thirion, le temps de la vigilance orange avait permis d'aborder cette première alerte rouge de l'histoire de la Corse dans les meilleures conditions. Notamment par la prise de décisions jugées capitales. "Nous étions déjà en ordre de bataille. Dès 9h30, j'avais réuni le Centre opérationnel départemental pour mobiliser déjà l'ensemble des secours les interlocuteurs concernés. Notamment le SDIS, la direction des routes du conseil départemental et celle de la CTC. Ce pilotage en temps réel de la situation nous a permis de décider le confinement pour les élèves, et non pas, comme on le fait habituellement en vigilance orange, la fermeture des écoles et la mobilisation des transports scolaires". L'option a été visiblement privilégiée pour éviter d'engager du monde sur des axes routiers dont on savait qu'ils allaient subir la colère du ciel.
L'importance du "ni trop tôt, ni trop tard"
Il aurait fallu, par la suite, gérer un véritable chaos. Parer au plus pressé face à l'urgence, à la panique, parfois à l'incivisme. Mais hier matin, à l'heure où le soleil éclairait déjà l'ampleur des dégâts, le dispositif qui venait d'essuyer un peu moins de 24 heures de tempête avait plutôt le sentiment du devoir accompli. "On s'en tire assez bien, fait remarquer le préfet, au regard de ces intempéries, des quelques 200 interventions, près de 120 mises en sécurité et d'une douzaine de sauvetages. Mais on a toujours de la chance de ne pas compter de victime dans ce genre de situation. Si un toit s'effondre sur une personne, vous n'y pouvez rien, quel que le dispositif. Je crois vraiment que le fait de mettre en place le COS avant la bascule au rouge a été important".
À la station de Campo dell'Oro qui, la veille au soir, n'avait coupé le contact qu'aux alentours de minuit, Patrick Rébillout et les troupes de Météo France avaient également le sentiment d'avoir été à la hauteur de cette première alerte rouge. Malgré des propos polémiques déjà véhiculés. "On a fait référence à l'Italie qui avait soi-disant déclenché l'alerte rouge 36 heures auparavant. Je ne sais pas comment ça fonctionne là-bas. Chez nous, une telle décision correspond à un ensemble de choses bien précises. Passer ce cap, c'est d'abord une veille météo de 24 heures, la nécessité d'attendre, non pas le dernier moment, mais une forte probabilité pour faire la bascule de l'orange au rouge. Sauf à vouloir crier au loup dès qu'on entrevoit des précipitations menaçantes, il faut être prudent. Le déclenchement d'une alerte rouge implique beaucoup de mouvement sur le terrain. Le faire à la hâte peut conduire au désordre et à l'inefficacité".
Article signé par Noël Kruslin
Déclenchée à 44 reprises entre métropole et outre-mer
L'histoire du niveau d'alerte rouge est encore jeune.Elle n'a commencé qu'en 2001, mais c'est à la suite des tempêtes dévastatrices de 1999, en région parisienne, que la nécessité d'une nouvelle approche du risque est véritablement apparue.
"On s'est, en fait, aperçu qu'il existait une faille. Les acteurs de la Sécurité Civile étaient alertés, mais pas le grand public, explique Patrick Rebillout.
"La culture du risque va d'ailleurs prendre de plus en plus d'importance si le phénomène de changement climatique continue à s'accompagner d'épisodes météo aussi agressifs. Le grand public va impérativement devoir l'acquérir".
En 15 ans, l'alerte rouge a été déclenchée 27 fois en France métropolitaine. Le Gard avait vécu la grande-première nationale le 9 septembre 2002 lors des inondations meurtrières qui avaient fait 24 victimes.
D'autres événements ayant vu à ce point grimper le côte d'alerte ont également eu à déplorer un bilan humain très lourd. L'alerte rouge produit toujours aussi une "addition" salée.
Le record est détenu par le Sud-Ouest de la France dont le passage de la tempête Klauss en 2009 avait coûté 1,63 milliards d'euros.
Les territoires d'outre-mer ont inauguré la vigilance rouge un peu plus tard, en 2007, le cyclone Garnier a frappé la Réunion.
Ce degré d'alerte a été quand même déclenché 17 fois, depuis lors, sur l'ensemble de ces territoires. NK
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INTEMPÉRIES EN CORSE
vendredi 25 novembre 2016
* Le jour d'après à Sainte-Lucie-de-Mercurio
Intempéries : d'importants dégâts à Sainte... par corse-matin d'importants dégâts à Sainte-Lucie De Mercurio
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
* Quelques instantanés
À PROXIMITÉ DU MAGASIN BUT ET HYPER U
CENTRE COMMERCIAL LA ROCADE À FURIANI
CENTRE COMMERCIAL LA ROCADE À FURIANI
ci-dessus photo aguy2b
TUNNEL ET ROND-POINT DE FURIANI
DU CÔTÉ SALLE DES FÊTES DE BIGUGLIA
Montée des eaux du Golo 24 novembre 2016
à Ponte-Leccia (photo Pascal Pochard-Casabianca)
RT 11 (ex RN 193) INONDÉE BIGUGLIA
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
jeudi 24 novembre 2016
* Intempéries en Haute-Corse depuis ce matin (vigilance rouge)
À l'arrière du Géant Casino Furiani
VIDÉOS EMPRUNTÉES À NADIA MONCELLI - FACEBOOK
VIDÉOS EMPRUNTÉES À NADIA MONCELLI - FACEBOOK
SAINT - FLORENT
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
mardi 22 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain)
L'HISTOIRE OFFICIELLE
drame réalisé par Luis Puenzo
date de sortie 5 octobre 2016 (1h52)
Buenos Aires en 1983
Alicia Marnet Ibáñez (Norma Aleandro), professeur d'histoire dans un lycée de Buenos Aires, mène une vie tranquille et bourgeoise avec son mari Roberto (Héctor Alterio) et la petite Gaby (Analia Castro) qu'ils ont adoptée.
Débute alors un inexorable voyage à la recherche de la vérité, une quête dans laquelle Alicia pourrait bien tout perdre.
Ma note :
vu au studio 1 à 14h30 Bastia
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FESTIVALS FILMS à BASTIA
lundi 21 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain)
L'OLIVIER
(el olivo)
COMÉDIE DRAMATIQUE de 2015
réalisée par Iciar Bollain
date de sortie 13 juillet 2016 (1h39)
Ce dernier a été contraint de vendre son olivier millénaire à une multinationale et ne s’en est jamais remis.
Alma décide de renverser l’ordre établi et remonte la piste de cet arbre unique, dernier ancrage dans ses terres familiales.
Ce voyage rocambolesque l’amène au cœur d’un combat de David contre Goliath.
Ma note :
vu au cinéma 7ème Art de Furiani à 16h30
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FESTIVALS FILMS à BASTIA
samedi 19 novembre 2016
vendredi 18 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain)
FRONTERAS
DRAME - ROMANCE
réalisé par Mikel Rueda
date de sortie 31 août 2016 (1h36)
Rafa (Germán Alcarazu) est un adolescent espagnol de 14 ans presque comme les autres.
Marocain, il est illégal sur le territoire et vient d’apprendre qu’il sera expulsé dans quelques jours.
Leur rencontre, un soir dans un club, va changer leur destin.
Rafa va tout faire pour aider Ibrahim à rester en Espagne.
Ma note :
vu au studio 1 à 14h30 Bastia
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FESTIVALS FILMS à BASTIA
jeudi 17 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain)
CARMINA !
COMÉDIE
réalisée par Paco León
réalisée par Paco León
date de sortie 27 juillet 2016 (1h33)
Carmina (Carmina Barrios), sévillane, femme extravagante, décide lors de la mort subite de son mari chéri Antonio (Paco Casaus)de ne pas déclarer son décès afin d''encaisser ses derniers salaires.
Elle convainc sa fille Maria (María León)de sa bonne intention.
Une succession de péripéties et situations loufoques s'entremêlent alors...
Ma note :
vu au studio 1 à 14h30 Bastia
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FESTIVALS FILMS à BASTIA
mercredi 16 novembre 2016
mardi 15 novembre 2016
* Enfin ! çà roule...
Plus de deux ans après le début des travaux, le mini tunnel de Casatorra à Biguglia, est enfin terminé.
Hier à deux heures du matin, la circulation a été ouverte dans le nouveau tunnel percé sous la route territoriale (RT) 11, au niveau du carrefour de Casatorra, sur la commune de Biguglia.
À la place du rétrécissement qui faisait de ce croisement un des points noirs du trafic routier insulaire, deux voies sont désormais ouvertes à la circulation dans chaque sens.
Hier à deux heures du matin, la circulation a été ouverte dans le nouveau tunnel percé sous la route territoriale (RT) 11, au niveau du carrefour de Casatorra, sur la commune de Biguglia.
À la place du rétrécissement qui faisait de ce croisement un des points noirs du trafic routier insulaire, deux voies sont désormais ouvertes à la circulation dans chaque sens.
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TRAVAUX ROUTIERS EN CORSE
lundi 14 novembre 2016
jeudi 10 novembre 2016
dimanche 6 novembre 2016
samedi 5 novembre 2016
jeudi 3 novembre 2016
* Bonifacio depuis le cap de Pertusato cet après-midi
Le Cap de Pertusato
(en corse Capu Partusatu et en bonifacien Cavu Pertüsaiu)
est le point le plus au sud de la Corse
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BALADES EN CORSE
* Bonifacio depuis Le Gouvernail de la Corse
Cet immense rocher à flanc de falaise est appelé "gouvernail de la Corse" par les pêcheurs de Bonifacio à cause de sa forme.
Au-dessus, un blockhaus y a été construit pendant la Seconde Guerre mondiale. Pour y accéder, un tunnel de 168 marches a été creusé dans la roche.
C'est une des meilleures vues sur l'entrée du goulet et sur la Sardaigne.
Au-dessus, un blockhaus y a été construit pendant la Seconde Guerre mondiale. Pour y accéder, un tunnel de 168 marches a été creusé dans la roche.
C'est une des meilleures vues sur l'entrée du goulet et sur la Sardaigne.
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