samedi 31 décembre 2016
vendredi 30 décembre 2016
* Extraits des JT sur ViaStella ce jour (après les intempéries)
* * * * * * * * * * * * * * *
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
jeudi 29 décembre 2016
mercredi 28 décembre 2016
* Extraits des JT sur ViaStella ce jour (après les intempéries)
* * * * * * * * * * * * * * * *
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
mardi 27 décembre 2016
dimanche 25 décembre 2016
samedi 24 décembre 2016
vendredi 23 décembre 2016
* Extraits Corse-matin de ce jour
Le paysage est dévasté
"Nous avons eu de la chance dans notre malheur, le restaurant n'a pas été touché. Et nous n'avons pas perdu le contenu de nos congélateurs. Mais, cette fois-ci, nous sommes vraiment sinistrés !", se désole Bernard Cabot qui rappelle qu'en novembre la plage avait déjà été ravagée.
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
jeudi 22 décembre 2016
mercredi 21 décembre 2016
* Bastia 1- Marseille 2
MATCH SUIVI À LA TÉLÉ
LE SPORTING S'INCLINE DANS LA DERNIÈRE MINUTE APRÈS AVOIR DOMINÉ LE MATCH
AU TERME DE CETTE SOIRÉE LE SCB EST À 14è PLACE
RENDEZ-VOUS LE 14 JANVIER À 20h EN LORRAINE CONTRE NANCY
LE SPORTING S'INCLINE DANS LA DERNIÈRE MINUTE APRÈS AVOIR DOMINÉ LE MATCH
AU TERME DE CETTE SOIRÉE LE SCB EST À 14è PLACE
RENDEZ-VOUS LE 14 JANVIER À 20h EN LORRAINE CONTRE NANCY
Libellés :
Sporting Club Bastia
mardi 20 décembre 2016
lundi 19 décembre 2016
dimanche 18 décembre 2016
samedi 17 décembre 2016
* Rennes 1 - Bastia 2 (18ème journée)
MATCH SUIVI À LA RADIO
LE SPORTING CLUB DE BASTIA MET FIN À L’INVINCIBILITÉ DE RENNES AU ROAZHON PARK ET CE, POUR LA TROISIÈME SAISON CONSÉCUTIVE
Buts :
- Sio (71è) pour Rennes
- Crivelli (60è) et Danic (64è) pour Bastia
ADDITIF DIMANCHE SOIR :
À L'ISSUE DE CETTE 18è JOURNÉE LE SCB SE CLASSE 12è
LE SPORTING CLUB DE BASTIA MET FIN À L’INVINCIBILITÉ DE RENNES AU ROAZHON PARK ET CE, POUR LA TROISIÈME SAISON CONSÉCUTIVE
Buts :
- Sio (71è) pour Rennes
- Crivelli (60è) et Danic (64è) pour Bastia
ADDITIF DIMANCHE SOIR :
À L'ISSUE DE CETTE 18è JOURNÉE LE SCB SE CLASSE 12è
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Sporting Club Bastia
vendredi 16 décembre 2016
* Patinoire de Bastia place Saint-Nicolas
extrait du Corsica Sera ViaStella de ce soir
Libellés :
DOCUMENTAIRES
mercredi 14 décembre 2016
mardi 13 décembre 2016
* Extrait JT de ce soir ViaStella (après les intempéries)
RD80 commune d'Olmeta-di-Capocorso
installation du pont mobile en cours
installation du pont mobile en cours
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
samedi 10 décembre 2016
* Bastia 2 - Metz 0 (17ème journée)
MATCH SUIVI À LA TÉLÉ
ET DE RECEVOIR MARSEILLE MERCREDI 21 À 20h50
AVANT LA TRÊVE
ENFIN UNE VICTOIRE !
UN BON BALLON D'OXYGÈNE AVANT DE RENCONTRER À L'EXTÉRIEUR RENNES SAMEDI PROCHAIN À 20h ET DE RECEVOIR MARSEILLE MERCREDI 21 À 20h50
AVANT LA TRÊVE
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Sporting Club Bastia
vendredi 9 décembre 2016
jeudi 8 décembre 2016
mercredi 7 décembre 2016
* Extrait JT de ce soir ViaStella (après les intempéries)
RÉOUVERTURE PARTIELLE
DU CENTRE COMMERCIAL À FURIANI
Huit des 17 boutiques de la galerie marchande du Géant Casino ont rouvert leurs portes ce jour.
D'autres devraient suivre dans les jours à venir.
L'hyper Géant n'ouvrira pas avant deux mois.
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
mardi 6 décembre 2016
* Extrait JT de ce soir ViaStella (après les intempéries)
Olmeta-di-Tuda : plusieurs foyers toujours privés d’eau
Une quinzaine de foyers sont privés d’eau dans le village d'Olmeta-di-Tuda, après les inondations du 24 novembre qui ont fait d'importants dégâts en Haute-Corse.
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
dimanche 4 décembre 2016
samedi 3 décembre 2016
vendredi 2 décembre 2016
* Extrait JT de ce soir ViaStella (après les intempéries)
sinistré le tennis club de Miomo lance un appel aux dons
Le premier club de tennis de Corse a vu ses locaux dévastés par les intempéries.
Deux de ses courts sont inutilisables.
Les dégâts sont estimés à 150 000 euros, six emplois sont directement menacés.
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
* Cet après-midi balade dans le Sud
PLAGES
CALA ROSSA et CASADELMAR
GOLFE DE PORTO-VECCHIO
* * * * * * * * * * * * * * * * *
BAIE DE SAN CIPRIANU
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BALADES EN CORSE
jeudi 1 décembre 2016
mercredi 30 novembre 2016
mardi 29 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain) dernière séance
TRUMAN
comédie dramatique hispano-argentin
réalisée par Cesc Gay
date de sortie 6 juillet 2016 (1h48)
Ils sont loin de se douter qu’ils vont passer avec Truman, le chien fidèle de Julian, quatre jours ensemble, faits de souvenirs, d'émotion et de surprises intenses, amplifiés par la grave maladie de Julian.
Actrice : Dolores Fonzi (Paula)
Ma note :
vu au cinéma 7ème Art de Furiani à 16h30
Libellés :
FESTIVALS FILMS à BASTIA
lundi 28 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain)
EL CLAN
thriller - drame
film argentino- espagnol
réalisé en 2015 par Pablo Trapero
Date de sortie 10 février 2016 (1h49)
(D'APRÈS UNE HISTOIRE VRAIE
APRÈS 7 ANS SOUS LA DICTATURE LA PLUS MONSTRUEUSE DE SON HISTOIRE, L'ARGENTINE RETOURNE À LA DÉMOCRATIE
TROIS ANS AUPARAVANT 1982)
SYNOPSIS :
Dans l'Argentine du début des années quatre-vingt, un clan machiavélique, auteur de kidnappings et de meurtres, vit dans un quartier tranquille de Buenos Aires sous l'apparence d'une famille ordinaire.
Il contraint Alejandro (Peter Lanzani), son fils aîné et star montante du rugby au sein du Club Atlético San Isidro, à lui fournir des candidats au kidnapping.
Celui-ci évolue au prestigieux club Le Casi et dans la mythique équipe nationale, Los Pumas.
Il est ainsi, par sa popularité, protégé de tous soupçons.
Ma note :
vu au cinéma 7ème Art de Furiani à 16h30
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FESTIVALS FILMS à BASTIA
dimanche 27 novembre 2016
* Nice 1 - Bastia 1 (14ème journée)
MATCH SUIVI À LA RADIO
LE SPORTING RAMÈNE UN BON POINT DE NICE
PROCHAINE RENCONTRE CONTRE BORDEAUX
MERCREDI PROCHAIN À FURIANI 19h
LE SPORTING RAMÈNE UN BON POINT DE NICE
PROCHAINE RENCONTRE CONTRE BORDEAUX
MERCREDI PROCHAIN À FURIANI 19h
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Sporting Club Bastia
samedi 26 novembre 2016
* Le survol de la zone sinistrée de Furiani en drone
Doc exclusif tourné le vendredi 25 novembre par les pompiers des Bouches du Rhône venus en renfort pour épauler leurs collègues corses et évaluer les dégâts des inondations dans le secteur de la zone commerciale de Furiani.
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
* Extrait Corse-matin de ce jour
Même si les éléments se déchaînent, le déclenchement d'une alerte rouge doit répondre à un ensemble de paramètres, sur la base d'une veille météo en amont.
Déclenchée pour la première fois en Corse, l'alerte rouge est la réponse à une dégradation exceptionnelle de la météo.
Elle implique une évolution du dispositif de secours et des messages au grand public.
Explications le point de bascule est intervenu ce jeudi 24 novembre, à 13 heures.
Un temps fort dans l'histoire de la gestion des épisodes météo à risque en Corse : la première fois que l'île voit sa vigilance orange virer au rouge.
Qui active ce degré d'alerte ?
À partir de quelles conditions météorologiques ?
Pour quoi faire ?
Un retour sur les événements qui viennent de secouer l'ensemble de la Haute-Corse s'impose pour mieux comprendre.
Au-delà de la vigilance jaune, celle qui ne marque qu'un risque sur des activités météo dépendantes à partir de conditions relativement habituelles pour un territoire, la vigilance orange est moins fréquente, mais la Corse y a quand même droit au moins une fois par an.
Elle met cette fois en garde face à un danger météo qui guette le grand public dans son activité quotidienne.
Ce degré de vigilance est synonyme de mise en place d'une cellule de crise, puis de messages à l'attention de la population dès l'instant où il est préférable de rester chez soi, d'éviter de prendre la route.
L'alerte rouge correspond pour sa part à un phénomène météo d'une intensité rare, à un grave danger pour la population d'un département.
"Hier (lire jeudi 24) en début de matinée, on observait déjà des relevés inquiétants, raconte Patrick Rebillout, directeur du Centre Météo France d'Ajaccio. Notamment un pluviomètre qui donnait déjà 200 mm. Ce qui nous a fait prendre la décision de faire passer le niveau d'alerte de l'orange au rouge en début d'après-midi, c'est la quantité d'eau déjà tombée ramenée à celle à celle qui était attendue. Bref, une situation qui s'annonçait plus que compliquée". Plus que l'intensité, la constance des fortes pluies durant de longues heures aura donc été l'élément déclencheur. Un curseur que Météo France se devait de faire bouger un signal donné à l'autorité préfectoral pour faire monter en puissance un dispositif déjà en éveil sous vigilance orange.
Salutaire anticipation
"Trois phénomènes cumulatifs ont joué, explique Alain Thirion, le préfet de Haute-Corse. Les fortes précipitations constatées sur certains sites, des vents très forts qui soufflaient jusqu'150km/h au point de provoquer des phénomènes de submersions marines, des phénomènes de puissants déversements dans les cours d'eau et des inondations".
Dès lors sous l'autorité du préfet, le dispositif a passé la vitesse supérieurs sur le terrain, grâce à tous les acteurs de la Sécurité Civile et aux services publics concernés. Mais de l'avis d'Alain Thirion, le temps de la vigilance orange avait permis d'aborder cette première alerte rouge de l'histoire de la Corse dans les meilleures conditions. Notamment par la prise de décisions jugées capitales. "Nous étions déjà en ordre de bataille. Dès 9h30, j'avais réuni le Centre opérationnel départemental pour mobiliser déjà l'ensemble des secours les interlocuteurs concernés. Notamment le SDIS, la direction des routes du conseil départemental et celle de la CTC. Ce pilotage en temps réel de la situation nous a permis de décider le confinement pour les élèves, et non pas, comme on le fait habituellement en vigilance orange, la fermeture des écoles et la mobilisation des transports scolaires". L'option a été visiblement privilégiée pour éviter d'engager du monde sur des axes routiers dont on savait qu'ils allaient subir la colère du ciel.
L'importance du "ni trop tôt, ni trop tard"
Il aurait fallu, par la suite, gérer un véritable chaos. Parer au plus pressé face à l'urgence, à la panique, parfois à l'incivisme. Mais hier matin, à l'heure où le soleil éclairait déjà l'ampleur des dégâts, le dispositif qui venait d'essuyer un peu moins de 24 heures de tempête avait plutôt le sentiment du devoir accompli. "On s'en tire assez bien, fait remarquer le préfet, au regard de ces intempéries, des quelques 200 interventions, près de 120 mises en sécurité et d'une douzaine de sauvetages. Mais on a toujours de la chance de ne pas compter de victime dans ce genre de situation. Si un toit s'effondre sur une personne, vous n'y pouvez rien, quel que le dispositif. Je crois vraiment que le fait de mettre en place le COS avant la bascule au rouge a été important".
À la station de Campo dell'Oro qui, la veille au soir, n'avait coupé le contact qu'aux alentours de minuit, Patrick Rébillout et les troupes de Météo France avaient également le sentiment d'avoir été à la hauteur de cette première alerte rouge. Malgré des propos polémiques déjà véhiculés. "On a fait référence à l'Italie qui avait soi-disant déclenché l'alerte rouge 36 heures auparavant. Je ne sais pas comment ça fonctionne là-bas. Chez nous, une telle décision correspond à un ensemble de choses bien précises. Passer ce cap, c'est d'abord une veille météo de 24 heures, la nécessité d'attendre, non pas le dernier moment, mais une forte probabilité pour faire la bascule de l'orange au rouge. Sauf à vouloir crier au loup dès qu'on entrevoit des précipitations menaçantes, il faut être prudent. Le déclenchement d'une alerte rouge implique beaucoup de mouvement sur le terrain. Le faire à la hâte peut conduire au désordre et à l'inefficacité".
Article signé par Noël Kruslin
Déclenchée à 44 reprises entre métropole et outre-mer
L'histoire du niveau d'alerte rouge est encore jeune.Elle n'a commencé qu'en 2001, mais c'est à la suite des tempêtes dévastatrices de 1999, en région parisienne, que la nécessité d'une nouvelle approche du risque est véritablement apparue.
"On s'est, en fait, aperçu qu'il existait une faille. Les acteurs de la Sécurité Civile étaient alertés, mais pas le grand public, explique Patrick Rebillout.
"La culture du risque va d'ailleurs prendre de plus en plus d'importance si le phénomène de changement climatique continue à s'accompagner d'épisodes météo aussi agressifs. Le grand public va impérativement devoir l'acquérir".
En 15 ans, l'alerte rouge a été déclenchée 27 fois en France métropolitaine. Le Gard avait vécu la grande-première nationale le 9 septembre 2002 lors des inondations meurtrières qui avaient fait 24 victimes.
D'autres événements ayant vu à ce point grimper le côte d'alerte ont également eu à déplorer un bilan humain très lourd. L'alerte rouge produit toujours aussi une "addition" salée.
Le record est détenu par le Sud-Ouest de la France dont le passage de la tempête Klauss en 2009 avait coûté 1,63 milliards d'euros.
Les territoires d'outre-mer ont inauguré la vigilance rouge un peu plus tard, en 2007, le cyclone Garnier a frappé la Réunion.
Ce degré d'alerte a été quand même déclenché 17 fois, depuis lors, sur l'ensemble de ces territoires. NK
Déclenchée pour la première fois en Corse, l'alerte rouge est la réponse à une dégradation exceptionnelle de la météo.
Elle implique une évolution du dispositif de secours et des messages au grand public.
Explications le point de bascule est intervenu ce jeudi 24 novembre, à 13 heures.
Un temps fort dans l'histoire de la gestion des épisodes météo à risque en Corse : la première fois que l'île voit sa vigilance orange virer au rouge.
Qui active ce degré d'alerte ?
À partir de quelles conditions météorologiques ?
Pour quoi faire ?
Un retour sur les événements qui viennent de secouer l'ensemble de la Haute-Corse s'impose pour mieux comprendre.
Au-delà de la vigilance jaune, celle qui ne marque qu'un risque sur des activités météo dépendantes à partir de conditions relativement habituelles pour un territoire, la vigilance orange est moins fréquente, mais la Corse y a quand même droit au moins une fois par an.
Elle met cette fois en garde face à un danger météo qui guette le grand public dans son activité quotidienne.
Ce degré de vigilance est synonyme de mise en place d'une cellule de crise, puis de messages à l'attention de la population dès l'instant où il est préférable de rester chez soi, d'éviter de prendre la route.
L'alerte rouge correspond pour sa part à un phénomène météo d'une intensité rare, à un grave danger pour la population d'un département.
"Hier (lire jeudi 24) en début de matinée, on observait déjà des relevés inquiétants, raconte Patrick Rebillout, directeur du Centre Météo France d'Ajaccio. Notamment un pluviomètre qui donnait déjà 200 mm. Ce qui nous a fait prendre la décision de faire passer le niveau d'alerte de l'orange au rouge en début d'après-midi, c'est la quantité d'eau déjà tombée ramenée à celle à celle qui était attendue. Bref, une situation qui s'annonçait plus que compliquée". Plus que l'intensité, la constance des fortes pluies durant de longues heures aura donc été l'élément déclencheur. Un curseur que Météo France se devait de faire bouger un signal donné à l'autorité préfectoral pour faire monter en puissance un dispositif déjà en éveil sous vigilance orange.
Salutaire anticipation
"Trois phénomènes cumulatifs ont joué, explique Alain Thirion, le préfet de Haute-Corse. Les fortes précipitations constatées sur certains sites, des vents très forts qui soufflaient jusqu'150km/h au point de provoquer des phénomènes de submersions marines, des phénomènes de puissants déversements dans les cours d'eau et des inondations".
Dès lors sous l'autorité du préfet, le dispositif a passé la vitesse supérieurs sur le terrain, grâce à tous les acteurs de la Sécurité Civile et aux services publics concernés. Mais de l'avis d'Alain Thirion, le temps de la vigilance orange avait permis d'aborder cette première alerte rouge de l'histoire de la Corse dans les meilleures conditions. Notamment par la prise de décisions jugées capitales. "Nous étions déjà en ordre de bataille. Dès 9h30, j'avais réuni le Centre opérationnel départemental pour mobiliser déjà l'ensemble des secours les interlocuteurs concernés. Notamment le SDIS, la direction des routes du conseil départemental et celle de la CTC. Ce pilotage en temps réel de la situation nous a permis de décider le confinement pour les élèves, et non pas, comme on le fait habituellement en vigilance orange, la fermeture des écoles et la mobilisation des transports scolaires". L'option a été visiblement privilégiée pour éviter d'engager du monde sur des axes routiers dont on savait qu'ils allaient subir la colère du ciel.
L'importance du "ni trop tôt, ni trop tard"
Il aurait fallu, par la suite, gérer un véritable chaos. Parer au plus pressé face à l'urgence, à la panique, parfois à l'incivisme. Mais hier matin, à l'heure où le soleil éclairait déjà l'ampleur des dégâts, le dispositif qui venait d'essuyer un peu moins de 24 heures de tempête avait plutôt le sentiment du devoir accompli. "On s'en tire assez bien, fait remarquer le préfet, au regard de ces intempéries, des quelques 200 interventions, près de 120 mises en sécurité et d'une douzaine de sauvetages. Mais on a toujours de la chance de ne pas compter de victime dans ce genre de situation. Si un toit s'effondre sur une personne, vous n'y pouvez rien, quel que le dispositif. Je crois vraiment que le fait de mettre en place le COS avant la bascule au rouge a été important".
À la station de Campo dell'Oro qui, la veille au soir, n'avait coupé le contact qu'aux alentours de minuit, Patrick Rébillout et les troupes de Météo France avaient également le sentiment d'avoir été à la hauteur de cette première alerte rouge. Malgré des propos polémiques déjà véhiculés. "On a fait référence à l'Italie qui avait soi-disant déclenché l'alerte rouge 36 heures auparavant. Je ne sais pas comment ça fonctionne là-bas. Chez nous, une telle décision correspond à un ensemble de choses bien précises. Passer ce cap, c'est d'abord une veille météo de 24 heures, la nécessité d'attendre, non pas le dernier moment, mais une forte probabilité pour faire la bascule de l'orange au rouge. Sauf à vouloir crier au loup dès qu'on entrevoit des précipitations menaçantes, il faut être prudent. Le déclenchement d'une alerte rouge implique beaucoup de mouvement sur le terrain. Le faire à la hâte peut conduire au désordre et à l'inefficacité".
Article signé par Noël Kruslin
Déclenchée à 44 reprises entre métropole et outre-mer
L'histoire du niveau d'alerte rouge est encore jeune.Elle n'a commencé qu'en 2001, mais c'est à la suite des tempêtes dévastatrices de 1999, en région parisienne, que la nécessité d'une nouvelle approche du risque est véritablement apparue.
"On s'est, en fait, aperçu qu'il existait une faille. Les acteurs de la Sécurité Civile étaient alertés, mais pas le grand public, explique Patrick Rebillout.
"La culture du risque va d'ailleurs prendre de plus en plus d'importance si le phénomène de changement climatique continue à s'accompagner d'épisodes météo aussi agressifs. Le grand public va impérativement devoir l'acquérir".
En 15 ans, l'alerte rouge a été déclenchée 27 fois en France métropolitaine. Le Gard avait vécu la grande-première nationale le 9 septembre 2002 lors des inondations meurtrières qui avaient fait 24 victimes.
D'autres événements ayant vu à ce point grimper le côte d'alerte ont également eu à déplorer un bilan humain très lourd. L'alerte rouge produit toujours aussi une "addition" salée.
Le record est détenu par le Sud-Ouest de la France dont le passage de la tempête Klauss en 2009 avait coûté 1,63 milliards d'euros.
Les territoires d'outre-mer ont inauguré la vigilance rouge un peu plus tard, en 2007, le cyclone Garnier a frappé la Réunion.
Ce degré d'alerte a été quand même déclenché 17 fois, depuis lors, sur l'ensemble de ces territoires. NK
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INTEMPÉRIES EN CORSE
vendredi 25 novembre 2016
* Le jour d'après à Sainte-Lucie-de-Mercurio
Intempéries : d'importants dégâts à Sainte... par corse-matin d'importants dégâts à Sainte-Lucie De Mercurio
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
* Quelques instantanés
À PROXIMITÉ DU MAGASIN BUT ET HYPER U
CENTRE COMMERCIAL LA ROCADE À FURIANI
CENTRE COMMERCIAL LA ROCADE À FURIANI
ci-dessus photo aguy2b
TUNNEL ET ROND-POINT DE FURIANI
DU CÔTÉ SALLE DES FÊTES DE BIGUGLIA
Montée des eaux du Golo 24 novembre 2016
à Ponte-Leccia (photo Pascal Pochard-Casabianca)
RT 11 (ex RN 193) INONDÉE BIGUGLIA
Libellés :
INTEMPÉRIES EN CORSE
jeudi 24 novembre 2016
* Intempéries en Haute-Corse depuis ce matin (vigilance rouge)
À l'arrière du Géant Casino Furiani
VIDÉOS EMPRUNTÉES À NADIA MONCELLI - FACEBOOK
VIDÉOS EMPRUNTÉES À NADIA MONCELLI - FACEBOOK
SAINT - FLORENT
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INTEMPÉRIES EN CORSE
mardi 22 novembre 2016
* Film vu ce jour (ciné espagnol et latino-américain)
L'HISTOIRE OFFICIELLE
drame réalisé par Luis Puenzo
date de sortie 5 octobre 2016 (1h52)
Buenos Aires en 1983
Alicia Marnet Ibáñez (Norma Aleandro), professeur d'histoire dans un lycée de Buenos Aires, mène une vie tranquille et bourgeoise avec son mari Roberto (Héctor Alterio) et la petite Gaby (Analia Castro) qu'ils ont adoptée.
Débute alors un inexorable voyage à la recherche de la vérité, une quête dans laquelle Alicia pourrait bien tout perdre.
Ma note :
vu au studio 1 à 14h30 Bastia
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