* Films vus ce jour 23è Festival Cinéma Italien 2011 de Bastia 7-02-2016

FILM  EN  COMPÉTITION 

LA  SOLITUDINE  DEI  NUMERI  PRIMI 

( la solitude  des  nombres  premiers ) 

de 2010 - sorti 2011 (1h58) 

drame franco-germano-italien 

de Saverio Costanzo 

( sélection officielle au festival de Venise 2010 )

1984, 1991, 1998, 2007.

Autant d'années qui séparent la vie de Mattia et d'Alice.

Mattia et Alice ont le même âge et ils fréquentent le même lycée de Turin.

Deux enfances difficiles, bouleversées par un terrible événement qui marquera à jamais leur existence.
Alice (Alba Rohrwacher) est complexée parce qu'elle boite.
Mattia (Luca Marinelli) est un surdoué mais il a des tendances morbides.
Tous deux portent les séquelles d'un traumatisme subi dans leur enfance qui les isole des autres et rend toute relation extrêmement difficile.
La conscience d'être différent des autres ne fait qu'augmenter les barrières qui les séparent du monde, les menant à un isolement inévitable, mais conscient.
Malgré l'attirance qu'ils éprouvent, ils n'arrivent pas à s'ouvrir l'un à l'autre.

Ma note :

vu au studio 1 à Bastia séance de 17h

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FILM EN COMPÉTITION 

 GORBACIOF 

( un tigre parmi les singes ) 

de 2010 sorti 2011 (1h27) 

drame réalisé par Stefano Incerti

Marino Pacileo (Toni Servillo) est un homme solitaire qui vit dans la région de Vasto à Naples , un quartier multiethnique peuplé, près de la gare centrale de la ville. 

Il est surnommé "Gorbaciof" parce que, comme l' homme d' État soviétique , a une tache de vin sur le front. 

Réservé et silencieux, sa seule passion c'est le jeu.
Étant comptable à la prison de Poggioreale à Naples, il dispose du contenu du coffre dans lequel il se sert au besoin.
Il joue au poker dans l'arrière salle d'un restaurant chinois tenu par un homme (Hal Yamanouchi) et sa fille Lila (Mi Yang), la jeune chinoise dont il est amoureux.
D'une grande beauté, Lila attise la convoitise de ceux à qui le restaurateur doit de l'argent.
Marino Pacileo veut éviter ce sort à la jeune fille mais pour cela il lui faut de l'argent, beaucoup d'argent.
Il vole l’argent de la caisse de la prison pour le donner à la jeune femme.
Entre endettements, pots-de-vin et vols, Gorbaciof commence alors une irréversible descente aux enfers.

Ma note :

vu au studio 1 à Bastia séance de 14h30