Dans un village cubain, une nouvelle se répand comme une trainée de poudre : tous ceux qui portent le nom de Castiñeiras recevront un héritage juteux que des religieuses ont déposé dans une banque anglaise au XVIIIème siècle. Tous les Castiñeiras commencent à faire les démarches pour toucher leur part, mais ils rencontreront beaucoup d'obstacles sur leur chemin.
La réalisation manque parfois de cohérence et la fin n’est pas tout à fait aboutie, mais reste un film attachant, en particulier grâce à la galerie de personnages truculents. vu Studio 1 Bastia à 14h30
1974, Buenos Aires. Benjamin Esposito (Ricardo Darín)
enquête sur le meurtre violent d'une jeune femme.
25 ans plus tard, il décide d'écrire un roman basé sur cette affaire "classée" dont il a été témoin et protagoniste. Ce travail d'écriture le ramène à ce meurtre qui l'obsède depuis tant d'années mais également à l'amour qu'il portait alors à sa collègue de travail. Benjamin replonge ainsi dans cette période sombre de l'Argentine où l'ambiance était étouffante et les apparences trompeuses...
Superbe thriller argentin présenté en exclu dans le cadre festival. Cet excellent film a remporté l'Oscar du meilleur film étranger 2010 à Los Angeles.
Une minute de silence a été observé à la mémoire du fils de Charles Orlanducci ancien président du club. Ma soirée foot au stade de Furiani (28 septembre 20h) et quelle soirée ! Stoppé dans sa progression à Niort (2-0), le SCB redémarre en trombe et ce, dès la 3è minute, pour finir à 3-0, devant 3812 spectateurs, temps frais. Prochaine rencontre pour le club dimanche 3 octobre à Paris FC.
une baie au cœur du golfe du Valinco dont on prétend qu'elle est la plus belle du monde : eaux calmes et limpides, rochers granitiques et maisons de pêcheurs parfaitement intégrées au paysage
Pont génois du Rizzanese et détente glaces à Sartène
Cette fois c'est en bâteau et en voiture au départ de Bastia. Première destination : Livourne après quatre heures sur mer calme. Spaghetti à la cafeteria du bateau pour la mise en ambiance. Quelques tracas pour trouver l'hôtel à cause d'une mauvaise information de Google. Le premier objectif était de voir les deux Botticceli aux Palais des Offices. La "Venus"et le "Printemps". D'autres tableaux italiens mais rien de plus que dans la galerie Denon au Louvre. L'entrée devrait être interdite aux moins de dix ans, il y a tant d'atrocités représentées sur les tableaux. Je préfère les tableaux bourgeois des flamands aux tableaux religieux italiens. Deuxième objectif, le vert d'Orezza, marbre corse de la Castagniccia qui revêt le sol de la chapelle des Medicis. Une surprise dans cette chapelle, deux sculptures de Michel Ange: "la Nuit et le Jour"," l'Aurore et le Crépuscule". Dernier objectif, le couvent San Marco aux cellules de moines décorées par de magnifiques fresques de Fra Angelico et le scriptorium très ambiance "Le Nom de la Rose". superbe ! Pour le reste, le marché et ses abords avec les marchands de sacs, un souvenir vieux de 42 ans, le Ponte Vecchio et ses marchands de bijoux, le parc Boboli, quelques belles demeures et palais. Tout est payant, photos interdites. ( "quand j'entends le mot culture, je sors mon carnet de chèques"). D'agréables apéritifs et glaces sur la place della Signoria. Dommage, pas de musique. En plus des glaces, nous avons bu des cafés" stretto" comme il se doit (1 euro au comptoir, 4 euros en terrasse). le Rivoire établissement classe pour le dernier café du soir. Aller en Italie sans boire des cafés, c'est aller en Écosse sans boire de whisky... Je vous laisse trouver des suites. Bien sur, les boutiques de luxe que l'on trouve du cap Nord au cap de Bonne Espérance. En conclusion, ce n'est pas Venise. Florence, c'est fini, je ne crois pas que j'y retournerai un jour (Pas mal ! Ca ferait bien dans une chanson). Retour par Pise où les touristes se contorsionnent pour des photos prises en train de retenir la tour. Le ridicule ne tue pas, c'est heureux. Amusez-vous avec les vidéos et les photos.
Ma soirée foot au stade de Furiani (4 septembre 20h) Devant 4000 spectateurs environ (dont 1653 abonnés), le Sporting a eu le dernier mot en marquant sur penalty (55è), but de Robail face une équipe strasbourgeoise qui s'est bien battue et donnée du fil à retordre à nos joueurs. L'essentiel, c'est le résultat et le SCB est premier.