Jean-Yves Schoen - Folelli commune Penta-di-Casinca (haute-corse) 20213




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mardi 16 février 2010

* Film vu ce jour 22è Rencontres Cinéma Italien Bastia 2010 (prolongation)

FILM EN COMPÉTITION 

VINCERE 

date de sortie 25 novembre 2009 
(2h08 version italienne - 1h58 version française) 
genre drame, biographie historique 
réalisé par Marco Bellocchio 
( sélection officielle festival de Cannes 2009 )

Dans la vie de Mussolini, il y a un lourd secret que l'histoire officielle ne raconte pas : une femme, Ida Dalser (Giovanna Mezzogiorno) et un enfant Benito Albino (Fabrizio Costella) conçu, reconnu puis désavoué.
Ida rencontre Mussolini de manière fugace à Trente et en est éblouie.
Elle le retrouve à Milan où il est un ardent militant socialiste qui harangue les foules et dirige le quotidien l'Avanti.
Ida croit en lui, en ses idées.
Pour l'aider à financer le Popolo d'Italia, point de départ du futur parti fasciste, elle vend tous ses biens...
Lorsque la guerre éclate, Benito Mussolini (Filippo Timi) s'engage et disparaît de la vie de la jeune maman, qui découvrira avec stupeur qu'il est déjà marié avec une autre femme.
Ida n'aura dès lors de cesse de revendiquer sa qualité d'épouse légitime et de mère du fils aîné de Mussolini, mais sera systématiquement éloignée de force et son enfant mis dans un institut.
Pourtant, elle ne se rendra jamais et ne cessera de revendiquer haut et fort sa vérité.

Ma note :
                             
vu à Furiani séance de 19h

lundi 15 février 2010

* Films vus ce jour 22è Rencontres Cinéma Italien Bastia 2010 (prolongation)

FILM EN COMPÉTITION

FORTAPÀSC 

genres drame, biopic 2009 (1h48)
réalisé par Marco Risi

En 1985, Giancarlo Siani (Libero De Rienzo) est tué de dix balles de revolver. 
Il avait 26 ans. 
Il était journaliste au quotidien "Il Mattino" à l'agence de Torre Annunziata et avait le défaut de s’informer, de vérifier les nouvelles, d’enquêter sur les faits.
Nous le suivons ici dans les quatre derniers mois de sa vie : son dernier été, quand il descendait tous les jours dans l’enfer de Torre Annunziata, règne du boss mafieux Valentino Gionta (Massimiliano Gallo). 
A cette période, tout tournait autour des intérêts pour la reconstruction de l’après-tremblement de terre de 1980.
Au milieu des « camorristes », des politiciens corrompus, des magistrats craintifs et des carabiniers impuissants, Giancarlo voyait. Il comprenait.
Il s’agit du seul journaliste qui ait été tué par la Camorra, il avait 26 ans, c'était le 23 septembre 1985.

Ma note :
vu à Furiani séance de 19h

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FILM  EN  COMPÉTITION 

LA  BELLA  GENTE 
( les  gens  bien ) 

de 2009 sorti en France en 2011 (1h38) 
drame réalisé par Ivano De Matteo
( Grand prix du Festival du film italien d'Annecy en 2009 )



Susanna (Monica Guerritore) et Alfredo (Antonio Catania) sont un couple très uni de quinquagénaires.

Ils ont été des militants de gauche très actifs et maintenant ils regardent avec une certaine amertume le monde tel qu'il est.

Sans rien renier de leur passé, sans remettre en cause leur statut social et leur aisance financière.
Des "bobos" dans toute leur splendeur.
Susanna milite dans l'humanitaire.
Elle œuvre dans un centre d'assistance aux femmes battues.
Aussi, lorsqu'elle voit une jeune prostituée, probablement d'Europe de l'Est, se faire corriger par son "protecteur" au bord de la route, à deux pas de leur maison de campagne, elle veut agir.
Elle demande à son mari d'aller la chercher pour la ramener chez eux.
Alfredo n'est pas très convaincu, mais il accepte.
Il lui est cependant difficile de faire comprendre à la jeune fille qu'il vient pour l'aider.
Elle croit qu'on l'enlève, elle se débat, s'enfuit, mais finalement Alfredo arrive à la faire changer d'avis. 
Susanna lui parle alors avec douleur et gagne sa confiance.
La jeune prostituée lui exprime sa reconnaissance et Susanna se prend d'amitié pour elle, lui donne des vêtements, l'installe chez elle et la traite comme une invitée.
Nadja (Victoria Larchenko) change complètement d'aspect et ressemble vraiment à une jeune fille de bonne famille. 
C'est ainsi, d'ailleurs, que Susanna et Alfredo la présentent à leurs amis.
Nadja se fait à sa nouvelle vie. 
Tout est pour le mieux, jusqu'au jour où...

Ma note :
                             
vu à Furiani séance de 14h30

dimanche 14 février 2010

* Roquefort-les-Pins (06) ce dimanche matin


MERCI  à  JACK  P.

* Le palmarès du 22ème Festival Cinéma Italien de Bastia

LE PRIX DU PUBLIC :
LA SICILIANA REBELLE de MARCO AMENTA 

LE PRIX DU JURY : 
LA BELLA GENTE de IVANO DE MATTEO 

samedi 13 février 2010

* Corse-matin ce 13 février




CERVIONE  12 FÉVRIER
DANS  CORSE-MATIN  CE  JOUR

vendredi 12 février 2010

* Oiseaux du jardin ce vendredi 12 février


n'oublions  pas  en  hiver  de  nourrir 
et 
d'abreuver  nos  oiseaux  de  jardin

* Folelli village et plage ce vendredi matin

MERCI  à  CARL P.

* C'est à notre tour...il neige depuis 0h30


La neige a tenu jusqu'à 10h-11h suivant les endroits
depuis 15h il pleut, dommage...

jeudi 11 février 2010

* Films vus ce jour 22è Rencontres Cinéma Italien Bastia 2010 11-02-2010

FILM  EN  COMPÉTITION 

LA  SICILIANA  RIBELLE 
( la  sicilienne )

réalisé en 2007 date de sortie 13 mai 2009 (1h53)
 drame, policier italo-français de Marco Amenta

Le matin du 5 novembre 1991, Rita (Veronica D'Agostino), une jeune sicilienne de 17 ans, cartable d'écolière sur l'épaule, se présente devant le Procureur de Palerme (Emanuela Mulè), pour venger le meurtre de son père et de son frère, tous deux membres de la Cosa Nostra et assassinés par un clan rival. 
Pour la première fois, une jeune fille issue d'une famille mafieuse se rebelle ostensiblement face à cette organisation traditionnellement patriarcale et misogyne et entend mener un combat juridique. 
À partir de cette date, ses jours sont comptés...
Comme la majorité des femmes appartenant à des familles de la mafia sicilienne, elle aurait dû se plier à l'Omerta, la loi du silence.
Elle aurait dû fermer les yeux, se soumettre comme sa mère et les générations précédentes. 
Mais Rita n'est pas comme les autres.
Son existence se révèle un défi permanent, une remise en question de sa condition et de son destin.
Menacée dans sa région et par sa propre mère, Rita est contrainte d'abandonner la Sicile natale et de s'exiler clandestinement à Rome où un magistrat anti-mafia (Gérard Jugnot) la prend alors sous protection et la soutient dans sa lutte.
Ce magistrat  sera assassiné en juillet 1992. 
Elle se suicide une semaine plus tard à Rome.
Ma note :
                              
vu à Furiani séance de 19h

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FILM  EN  COMPÉTITION 

SOLO UN PADRE 
( seul un père )

dramatique, sentimentale
2008-2009 (1h35) 
réalisé par Luca Lucini

À Turin, Carlo (Luca Argentero) est un jeune dermatologue renommé que la vie n'a pas épargné. 
Sa femme est morte en couches dix auparavant, mettant au monde la petite Sofia.
Carlo en souffre encore terriblement. 
Heureusement, il est très entouré. 
Mais les grands-parents prennent des vacances, Carlo se retrouve seul avec le bébé. Il essaie de bien faire, mais il n'a plus le temps pour rien.
Un matin, lors d'un jogging, il rencontre Camille (Diane Fleri), une jeune française qui est à Turin pour ses recherches sur la carte du cerveau humain.
Avec elle, il retrouve des émotions qu'il croyait perdues.
D'autant plus que la ravissante Camille se révèle d'un grand secours pour s'occuper de sa petite Sofia.
Ma note :
vu à Furiani séance de 17h

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FILM EN COMPÉTITION 

COME  DIO  COMANDA 

2009 (1h43) 
drame réalisé par Gabriele Salvatores

Un coin de campagne abandonnée dans le Nord de l'Italie.
Grisailles et pluie, une route, des maisons éparses, des centres commerciaux.
La solitude.
C'est là que vit Rino Zena (Filippo Timi), chômeur chronique, avec son fils introverti Cristiano (Alvaro Caleca), un jeune adolescent renfermé.
Rino éduque Cristano en lui inculquant ses principes, un mélange de racisme, de machisme, de nazisme et de violence.
Une éducation que Cristino qui vénère son père n'est absolument pas en mesure de critiquer.
Ils sont seul contre tous, particulièrement contre l'ingérence des services sociaux qui pourraient bien les séparer.
Ils ont pour seul ami un marginal baptisé Quatro Formaggi (Elio Germano) qui leur est très attaché. Victime d'un accident, il n'a plus toute sa tête.
Il a des crises mystiques, mêlées à de curieuses obsessions, dont celle pour une jeune star du porno, Fabiana (Angelica Leo) qu'il croit reconnaître chez une camarade de classe de Cristano.
Par une nuit d'orage, le drame éclate.
Ma note :
vu à Furiani séance de 14h30

mercredi 10 février 2010

* Films vus ce jour 22è Rencontres Cinéma Italien Bastia 2010

FILM  HORS  COMPÉTITION 

IL PAPÀ DI GIOVANNA 
( le  père  de  Giovanna ) 

sorti 12 Septembre 2008 (1h44) 
drame réalisé par Pupi Avati
(prix d'interprétation Silvio Orlando Mostra de Venise 2008)

                                                               Bologne 1938. 
Michele Casali (Silvio Orlando) se trouve dans une situation désespérée : Giovanna (Alba Rohrwacher), sa fille unique encore adolescente, a tué par jalousie sa camarade de classe. 
Dans le milieu bourgeois dans lequel le crime est commis, l'affaire suscite une profonde émotion associée à de l'incrédulité. 

Considérée comme malade mentale, la jeune fille évite la prison mais est enfermée dans un hôpital psychiatrique de Reggio Emilia où elle restera jusqu'à l'âge de 24 ans. 
Pendant cette période d'isolement presque total la seule personne qui s'occupe de Giovanna est son père qui, pour rester près de la jeune fille, quitte Bologne pour Reggio. 
Avec talent et sensibilité, Pupi Avati évoque Bologne (sa ville natale) pendant le fascisme et offre à Silvio Orlando un rôle magnifique couronné par un prix d'interprétation décerné à l'unanimité à la Mostra de Venise 2008. 
Ma note :
vu à Furiani séance de 19h

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FILM  HORS  COMPÉTITION 

IL  GRANDE  SOGNO 
( le  rêve  italien ) 

 date de sortie 10 mars 2010 (1h40) 
 comédie dramatique, historique 
réalisée par Michele Placido 
( sélection officielle Mostra de Venise 2009 )

Nous sommes en 1968.
La jeune génération rêve de changer le monde, enfreint les règles, prône l'amour libre.
Tout semble possible.
Nicola (Riccardo Scamarcio), un beau jeune homme de la région des Pouilles (Sud de l'Italie) est policier mais rêve de devenir acteur et se retrouve infiltré dans un monde étudiant en ébullition.
À l'université, il rencontre Laura (Jasmine Trinca), une jeune fille de la bourgeoisie catholique italienne, étudiante brillante et passionnée qui rêve d'un monde sans injustices  et Libero (Luca Argentero), d'origine ouvrière, leader du mouvement étudiant qui rêve de révolution.
Entre les trois jeunes gens naissent des sentiments forts et passionnés.
Laura, séduite de part et d'autre, doit choisir entre Nicola et Libero.
Même les jeunes frères de Laura, Giulo et Andrea se laissent emporter par le climat de contestation et sèment le trouble dans la famille.
Cette histoire s'inspire de l'expérience autobiographique de Michele Placido, policier, qui, une fois arrivé à Rome, décida de prendre le chemin de l'art dramatique... son grand rêve.
Ma note :
vu au Théâtre de Bastia séance de 14h30

mardi 9 février 2010

* Films vus ce jour 22è Rencontres Cinéma Italien Bastia 2010

FILM EN COMPÉTITION 

GIULA NON ESCE LA SERA 

film de 2009 (1h45) 
drame réalisé par Giuseppe Piccioni

Guido (Valerio Mastandrea) est un écrivain à succès. Avec son dernier ouvrage, il fait d'ailleurs partie des finalistes d'un prestigieux prix littéraire.
Il est marié à Benedetta (Sonia Bergamasco) et père d'une jeune adolescente, Constance (Domiziana Cardinaux) relativement introvertie qu'il force à prendre des cours de natation.
Quand elle se révolte, c'est lui qui la remplace dans le bassin pour ne pas perdre l'argent déjà versé.
Il fait ainsi la connaissance de Giulia (Valeria Golino), la monitrice de sa fille, une femme mystérieuse et fascinante.
Quand il l'invite un soir, elle refuse car elle en semi-liberté et donc contrainte de rentrer en prison tous les soirs.
Guido cherche à s'évader de la vie frénétique dans laquelle sa renommée le plonge, il essaie de ne pas s'enfoncer dans le tourbillon de la prison.
Guido découvre le passé de la jeune fiemme, Giulia avait été mariée de nombreuses années avant et du mariage est née une fille, qui refuse catégoriquement de la voir et ne lui pardonne pas de l'avoir abandonnée.
Avant, elle était en amour avec un autre homme et elle avait tout : la maison, la famille, le travail.
Mais l'histoire n'a pas duré longtemps et quand Giulia s'en compte que l'homme la laisserait, elle le tue.
Deux personnages que tout sépare et qui, pourtant, se comprennent et se soutiennent.
Ma note :
vu au studio 1 à Bastia séance de 17h

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FILM EN COMPÉTITION 

DIVERSO DA CHI ? 

2009 (1h42) 
comédie réalisée par Umberto Carteni

Piero (Luca Argentero) est un jeune politicien de gauche ouvertement gay vivant à Trieste,  ville du nord-est de l'Italie, depuis quatorze ans avec son petit ami bien-aimé Remo (Filippo Nigro), traditionnellement à droite.
Piero est engagé en politique et milite presque par hasard à la tête du parti de centre gauche et candidat aux élections municipales.
Pour la campagne électorale, son nouveau bras droit, Adèle (Claudia Gerini), est une femme plutôt conservatrice farouchement au divorce, incapable de parler sans introduire le mot famille dans chacune de ses phrases. Leurs débuts ensemble se rélévent désastreux mais finalement sur les conseils de Remo, Piero change de comportement et au-delà de leurs rapports personnels, c'est bien leur relation homme-femme qui évolue, peut-être même un peu trop...
Que deviendra son image de symbole gay.
Comment en parler à Remo ? Comment réagiront les électeurs, les adversaires ? 
Ce sont toutes les certitudes de Piero qui s'envolent.
Cependant, il doit se rendre à l'évidence : il est amoureux d'Adèle qui voit également sa vie bouleversée et ses valeurs sur la famille traditionnelle, balayées.
Ma note :
vu au studio 1 à Bastia séance de 14h30

mercredi 3 février 2010

*

Très belle journée : marche 6,5kms

lundi 1 février 2010

* Actu...


Hier soir vers 23h30, une giboulée a blanchi nos montagnes à très basse altitude, vu quelques flocons dans le jardin. 
Ce matin -1° à 8h, après-midi ensoleillé 9.
J'en ai donc profité pour faire une marche 5kms.


* Crocus du jardin ce 1er février